Petit moment de réflexion intérieure

 

 

 

Depuis ce matin j’ai une pensée qui tourne en rond et qui ne me lâche pas: devrais-je dire: que je ne lâche pas!

 

Alors voilà: j’ai vu défiler dans mes pensées des personnes que j’aime, et je me suis rendue compte, qu’il y en avait pour qui j’avais vraiment de l’admiration et d’autres dont j’avais un peu honte .

Intéressant, non?

 

Il y a des personnes avec qui je suis toujours fière d’être, je me sens forte en leur présence, je les trouve belles ou beaux, intelligents(es), brillants(es), je sens qu’ils ou qu’elles sont appréciés(es) de tous: c’est un vrai bonheur d’être avec elles ou eux!

Et puis, ils y à ceux et celles pour qui j’ai de l’estime, avec qui je me sens bien lorsque nous sommes ensemble et seuls mais dès qu’il faut être en public avec eux ou elles, je ressens comme un malaise…

 

Je me suis amusée à les prendre tous dans chaque catégories un à un: à regarder ce qui me plaisait tant et ce qui me gênait aussi.

 

je me suis rendue compte, surtout pour celles avec qui je ressentais un malaise, que ce n’était pas la personne en elle-même, mais un trait de caractère, une attitude qui par le passé avait pu me géner et que j’avais peur qu’elle agisse de même. je me suis même surprise à ressentir de la honte.

 

Pour les autres ce sont aussi des qualités que j’apprécie.

 

Et puis, en accueillant ce qui se présentait, je me suis rendue compte, que je parlais de moi, car en fait, ce n’est pas tant que je sois fière ou pas d’elles, c’est que je suis fière de moi ou que j’ai honte de moi-même: que va-t’on penser de moi?

 

Wahooooo!, je touche à toutes ces facettes qui font aussi partie de moi et que je renie ou dont je n’ai pas toujours conscience.

 

En conclusion, y’a encore du boulot! Même pour moi!!

 

Et puis à un autre moment de la journée, en discutant avec un ami, je lui dis que j’avais un gros rhume dont je n’arrivais absolument pas à « me passer »(intéressant ce que j’écris!), malgrè l’homéopathie, les huiles essentielles etc… et que j’avais plutôt la sensation que c’était mon corps qui pleurait…

Savez-vous ce qu’il m’a répondu?

« c’est bien comme concept: perdre les eaux pour renaître »… No comment!

c’est exactement ça!

Comment n’y avais-je pas pensé plutôt avec tout ce qui se passe en ce moment dans ma vie?

Comme quoi, la communication, ça a du bon!

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