Archives de l’auteur : Catherine

À propos Catherine

Un site pour aller à l'essentiel, être au coeur de soi, où je partage avec vous différentes méthodes pour se sentir bien, en accord avec soi-même.

La vie est-elle une école? d’Isabelle Padovani

De cette vidéo, quelques phrases ont retenues mon attention?

 » Qu’est-ce qui est? »

« Qu’est-ce que tu veux? »

« Qu’est-ce que tu fais? »

Isabelle explique très bien ce qui se passe en soi à certains moments de la vie par rapport au sens que l’on veut donner aux évènements qui surgissent…

Savoir prendre soin de l’enfant Moi, être le père, ne faire qu’un… et parfois aussi qd l’enfant Moi prend toute la place, reconnaître que le Père puisse être dépassé et qu’alors il est temps de demander de l’aide à l’extérieur….

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Une histoire touchante: une « leçon » de vie…

Oui, je sais en ce moment je vous parle beaucoup de ce sujet: le Cancer. Mais que voulez-vous, c’est ma façon à moi « d’exorciser » le sujet! Je ne suis pas bien sûre d’utiliser le bon mot, mais bon, je vais faire avec!

Qu’il soit pris juste au début ou qu’il soit à n’importe quel stade,lorsqu’on vous dit que ce que vous avez est un cancer: c’est un grand uppercut  que vous recevez et qui vous met chaos.

Alors, chacun va réagir différemment face à ça: certains restent silencieux, d’autres gardent la nouvelle pour eux, ou en font parti à leur entourage.d’autres encore se noient dans une activité pour ne pas y penser, d’autres nient ce qui leur arrive….

Une chose est certaine nous ne sommes pas égaux face à la « maladie ».

La plupart  des personnes autour de moi, y compris les médecins, me disent: « tu sais tu t’en sors bien, ça a été pris à temps, tu as de la chance, tu as juste de la radiothérapie et peu en plus, et un traitement à prendre pendant 5ans!Regarde autour de toi, tout le monde n’a pas cette chance!!!

Certes oui, et pour autant j’ai envie d ‘hurler quand j’entends ça: envie de dire: « mais vous n’êtes pas moi! vous ne savez pas ce que je ressens au plus profond de moi, à quoi ça me renvoie… Bien sûr, que dans le fond vous avez sûrement raison, mais dans la forme, une partie de moi est en souffrance, elle a la trouille. Peut-être que si j’en savais moins sur le sujet, je me laisserais conter tout ça.

On dit que trop d’information, tue l’information…

Alors, oui, il y a des jours où je positive, mais je me donne aussi le droit de ne pas avoir « la positive attitude » tout le temps, parce qu’il y a la vie de tous les jours avec toute sa ronde d’évènements, que je suis un Être fait de chair et de sang: un simple Être humain, que j’ai une histoire, des pensées, des croyances, des émotions et que parfois tout se mélange.

Alors, si j’ai envie de pleurer: je pleure. Si j’ai envie de rire: je ris.Si j’ai envie de danser: je danse. Si j’ai envie de ne rien faire: je ne fais rien!

Je procrastine! Je découvre la signification de ce mot. Remettre à demain, surtout quand ce que j’ai à faire ne me procure aucune satisfaction immédiate!

C’est complètement incohérent avec ma façon d’être et de penser, surtout après ce genre d’expérience: je suis la première à dire: je vis au jour le jour,je profite de chaque instant: je vis au présent pleinement…

Et, oh incohérence quand tu me tiens!, je me surprends à procastiner!!!!

Alors, je me fais une liste de tout ce que j’ai envie de faire, de voir, de lire…. Tout ce que je ne m’accorde pas faute de temps habituellement.

Prochaine étape, après la prise de conscience: – poser des actes pour réaliser cette liste et – persévérer !…

Et puis, j’ai décidé de me mettre « en vacances » jusqu’à mon retour d’Inde.

D’abord, pour me laisser du temps de m’occuper vraiment de moi pendant la radiothérapie (je n’ai aucune idée de comment ça va se passer pour moi, malgré tout ce qu’on peut me raconter, mais n’est-ce pas ma propre expérience qui va compter?).D’être au mieux de ma forme pour pouvoir partir en Inde et animer l’atelier du Voyage au fil des sens.( A ce propos ,il est complet) C’est un projet qui me tient à coeur, et pour moi c’est vraiment important.

Et puis, pour l’instant, je n’ai pas trop envie de « travailler ». Je ne me sens pas complètement disponible pour les accompagnements individuels… (C’est à mon tour de me faire accompagner!!!) C’est aussi l’occasion de voir comment et surtout ce que j’ai envie de donner comme sens à ma façon de travailler à l’avenir.

C’est un grand remaniement! Ca aussi c’est à la mode en ce moment, non?

Mais assez parler de moi, il y a cette vidéo que l’on m’a partagée, et qui m’a beaucoup touchée. C’est un coup de pieds aux fesses quand je m’apitoie sur mon sort.

Alors, je la partage aussi avec vous…

Chaleureusementcoeur de pétales de rose

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Comment garder la joie de vivre avant une opération cruciale…

Ce matin, une personne avait téléchargé cette vidéo sur Facebook. Elle m’a interpellée.

Je ne sais pas si dans nos hôpitaux ou cliniques françaises nous serions autorisées à en faire de même.

peu importe! C’est une belle énergie de vie qu’à Déborrah dans cette vidéo, autant pour elle que ce qu’elle transmet à l’équipe chirurgicale qui va s’occuper d’elle pour sa double masectomie.

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Mary Pier Charron de Matin Magique m’a envoyé ce billet: Le syndrôme du prince charmant…

 «Les seules pensées zen que vous puissiez trouver en haut d’une montagne sont celles que vous avez apportées avec vous.»
– Robert Pirsig

manmeditatingsunrisePeut être connaissez-vous déjà Mary Pier Charron, peut-être pas!

Elle a créé Matin Magique et poste régulièrement des billets, des réflexions très intéressantes.

J’apprécie sa façon d’expliquer, et de parler de certains sujets.

En voici un, qui m’interpelle, et comme je m’en faisais la réflexion déjà depuis quelques jours, il est tombé à point! Je ne saurais mieux en parler.

Alors, lisez, méditez et faites moi part de vos réflexions.

Et puis si ça vous chante, voici le lien de son site pour que vous puissiez vous y inscrire:

http://www.matinmagique.com

Très belle réflexion…

Parfois, quand je me sens stressée ou fatiguée, une pensée familière me vient spontanément à l’esprit : comme j’aimerais aller en Californie. C’est beaucoup moins fréquent qu’avant, mais elle se montre encore le bout du nez, occasionnellement. Et chaque fois, elle apparaît comme la solution magique, l’évasion parfaite, la fin de tous mes désagréments.Pour moi, c’est la Californie. Car aucun lieu ne me fait vibrer autant. J’aime son soleil vibrant, son magnifique océan, son délicieux air marin, son énergie incroyablement vaste et ouverte. D’ailleurs, vous vous souvenez probablement que j’y passais beaucoup de temps, avant (depuis, j’ai décidé de réduire mes voyages au minimum, afin de rester avec Pacha).

Mais pour vous, la «Californie» est peut-être une relation amoureuse. Ou de l’argent. Ou un pèlerinage. Ou un enfant. Ou un peu de tout cela.

Ce type de pensée se présente souvent à nous lorsqu’on est décentré, toujours avec la promesse de nous sauver. C’est un peu comme le syndrome du prince charmant, si on veut… On s’attend à ce que quelque chose, quelque part, vienne rétablir l’harmonie comme par magie. On est convaincu que cet «ailleurs» a des propriétés que le présent n’a pas, tellement l’image est belle dans notre esprit.

Or, avez-vous remarqué que dans les faits, on se sent toujours à peu près de la même façon? Oui, le paysage peut changer, mais notre état reste plus ou moins le même. Car quoi que l’on vive, on apporte toujours notre façon de penser avec nous. Une fois l’exaltation de la nouveauté estompée, on revient à peu près au même point où on était avant. Si on avait tendance à cultiver des pensées culpabilisantes, par exemple, on continuera. Ou si on avait tendance à être en paix avec la réalité, ça se poursuivra tout autant.

Évidemment, certains environnements nous conviennent plus que d’autres… Tout comme les fleurs, on s’épanouit davantage dans certains «climats». Cela dit, si notre état de lourdeur vient de notre dialogue intérieur – et pour les Occidentaux privilégiés que nous sommes, c’est presque toujours le cas – elle nous rattrapera où que l’on soit. D’ailleurs, je me souviens très bien de moments où j’étais fatiguée ou stressée en Californie, même si je vibrais d’être là. En réalité, cette Californie toute puissante que mon mental me tend comme un hameçon n’existe pas.

 

On a tous entendu des personnes dire «depuis que telle ou telle chose s’est produite, ma vie est transformée et je suis plus heureux que jamais». Cela donne l’impression que le grand déclic fut extérieur, que quelqu’un ou quelque chose est venu déposer le germe du bonheur directement dans leur cœur. Or, quand on questionne un peu la personne, on constate rapidement que le changement a commencé en elle, et bien avant. Le mouvement extérieur était la continuité du mouvement intérieur, en fait – non pas l’inverse, comme on tend à l’imaginer.Ainsi, ces solutions magiques qui nous viennent en tête sont certes très attrayantes. Il est tentant d’y croire et de leur consacrer notre attention. Mais aussi jolies soient-elles, elles proviennent du même mécanisme que le malaise dont elles prétendent vouloir nous libérer; elles l’entretiennent, même, en portant notre attention à l’extérieur de nous. Car bien qu’il soit absolument merveilleux de vivre de belles expériences et de se créer une vie à notre image, il reste qu’il n’y a tout simplement pas de solutions extérieures à nos petits vides intérieurs – du moins, pas à long terme. Et tout ce qui nous amène à croire autrement ne fait que prolonger notre malaise inutilement.

Apprendre à cultiver la paix en nous et à se détacher de nos vieux courants de pensée plus ou moins constructifs n’est certainement pas facile. En fait, c’est une des choses les plus courageuses qui soient. Sinon, on ne serait justement pas aussi déterminé à s’en sauver! Mais c’est le chemin le plus direct vers tout ce que l’on peut désirer. En fait, c’est le seul vrai chemin vers ce que l’on veut vraiment, à bien y penser. Donc finalement, la seule chose à décider est quand nous choisirons de l’emprunter. 🙂

Passez une belle journée!

 Marie-Pier
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Toutes ces pensées qui nous traversent pendant « la maladie » Témoignage personnel

petite plume 

Il est environ 5h du matin, je n’arrive pas à dormir. Tant de choses se bousculent dans ma tête…

Mon bras est douloureux, cela me ramène  au cancer du sein.

Une petite voix intérieure me pousse et me dit : « écris ». Alors, je me lève, sans faire trop de bruit, et viens me planter devant l’ordinateur. Les yeux me piquent un peu, les restants de sommeil, le temps d’ajuster ma vue à la luminosité de l’écran.

Me voilà devant une belle page blanche ! Par où commencer ? Et pourquoi ?

Peut- être est-ce mon désir de « mieux faire » ? Ou bien, de comprendre ? J’opte plutôt pour la seconde hypothèse.

Depuis de nombreuses années maintenant, j’accompagne des femmes (surtout), atteintes de cancer du sein.

Lorsqu’elles s’adressent à moi, soit elles sont en cours de traitement, soit il y a rémission ( quel nom bizarre !) REMISSION : terme que l’on utilise dans le cas d’une remise de peine, pour pardonner des péchés ( en me relisant, je pense à la symbolique du cancer du sein gauche: ben oui, il y a une partie de moi qui se sent coupable et qui a pas reçu comme elle aurait aimé… et blablabla! Eh bien il  y a encore du boulot!)

Mais là pour dire : diminution d’une maladie de façon temporaire ! Il y a comme une épée de Damoclés  au-dessus de la tête !

Certains peuvent penser ou croire qu’une fois opérée, la personne est guérie. Et que la vie va reprendre son cours « comme avant »

Que nenni !C’est une période qui n’est pas toujours très simple à vivre. Jusqu’alors, pour certains la maladie et les traitements occupaient la vie du patient, le tourbillon dans lequel il se trouvait, s’arrête. Le patient peut avoir l’impression d’être laissé tombé, ou abandonné. Il a souvent des difficultés à se sentir en sécurité alors qu’on ne lui demande plus de s’investir dans les traitements. Ou, il y a de la rééducation, dans le cas du cancer du sein, même pris au début, le fait que l’on retire les ganglions sentinelles, les canaux lymphatiques eux restent, mais ne sont plus irrigués de la même façon, cela crée une fibrose des ligaments, des gonflements, douloureux au début et pour quelques temps. Cela, et je ne peux parler que de ce que je ressens, me ramène au problème, et ne me permet pas de me sentir « Guérie » et puis il y a les rayons qui vont suivre. Tout cela contribue à un stress que personne autour de soi ne peut imaginer, ou sinon d’une façon très superficielle.

En ce qui me concerne, ce qui a été et est encore le plus difficile, c’est l’attente.

Entre le jour où l’on détecte une anomalie sur la mammographie ou/et l’échographie,l’attente du rendez-vous pour faire une biopsie et là encore,  l ’ATTENTE. Puis le verdict (tiens, encore un terme de jugement !: la cour rend le verdict !) et le couperet tombe : Il faut qu’on se parle : c’est un cancer.

Et là, le sol se dérobe sous mes pieds, la voix se hache, les larmes coulent, la panique envahie tout mon corps et ma seule pensée est : je veux pas mourir ! Pourquoi moi ?? la peur s’installe, plus le temps de quoique ce soit, c’est comme si d’un seul coup la vie c’est maintenant, tout de suite, pas de plans sur la comète. Il faut agir.

Ma réaction a été d’appeler mon mari, et quelques amis proches, leur dire que j’étais terrorisée, que j’avais besoin d’eux. Tout cela peut être très différent d’une personne à l’autre, et je ne peux que témoigner pour moi, mais une fois de plus, cela me fait vraiment aller plus loin dans mon désir d’accompagnement par rapport à la maladie. Il y a d’un côté ce que l’on a appris, ce que l’on imagine quand on vous raconte et l’empathie, mais surtout, à partir d’aujourd’hui, pour l’avoir ressenti dans ma chair, il y a une connaissance, une compréhension totalement différente, une forme de saut quantique.

Et puis l’ ATTENTE encore du Rendez-vous avec le chirurgien, l’opération, savoir si la chaîne ganglionnaire a été touchée ou pas, le stade du cancer, sa forme etc… Le réveil, le pansement et se demander si finalement, les pronostics étaient justes ou pas, et si on m’avait retiré le sein ? Que de tensions, de questionnements de craintes parfois non exprimées à cet instant…. Et puis encore l ’ATTENTE du premier rendez-vous de radiothérapie…. L’ATTENTE de se sentir aller mieux, l’ ATTENTE de reprendre sa vie en main….

L’ATTENTE, action de compter sur quelque chose ou quelqu’un et puis j’entends aussi le mot  « latent » : qui existe de manière diffuse, sans être apparent, mais qui peut à tout moment se manifester.

Pourtant je suis d’un naturel optimiste, mais je ne me sens pas en sécurité, je sais qu’il faut que je fasse attention.

Cette ATTENTE peut être interminable, le temps passe d’un seul coup lentement on voudrait tout savoir, tout maitriser.

Ah ! MAITRISER, le mot est tombé lui aussi !

Ce n’est pas toujours possible, il y a des choses qui nous échappent, c’est ce que nous avons à accepter. Et Bordel ! que c’est difficile ! oui, oui, j’ai bien dit « difficile », car à cet instant précis, et c’est parfaitement juste : je ne sais pas. Je ne peux agir qu’avec ce que je sais ! Et ça, j’ai à en prendre sérieusement conscience !

Et puis, je pense aussi qu’il y a des formules à ré-inventer…

On vous dit : vous avez été opérée, on a retiré la tumeur, c’est fini ! Mais à côté de ça, il y a les rayons ou la chimiothérapie pour certaines et les traitements hormonaux dans le cas de cancer hormono-dépendant. Et votre médecin fait une demande auprès des organismes pour que vous soyez prise en longue maladie !! Il faut savoir : je suis guérie oui ou non ???

J’ai l’air de plaisanter là, mais je vous assure que tout cela contribue au stress et au petit bonhomme qui pédale dans ma tête. Je comprends mieux les réactions de certaines personnes que j’accompagne.

Pendant tout ce temps et à cette période, l’entourage est très important.

Le patient qui vient d’être soigné d’un cancer est fragilisé en raison des traitements et de la sensation de menace de mort suspendue au-dessus de sa tête. Car le patient en a souvent conscience : il faut plusieurs années pour que les médecins parlent de guérison. En attendant, il s’agit d’une rémission. Et cette incertitude est difficile à gérer.

Le patient a besoin de temps pour sortir de sa maladie, retrouver une autre image de lui-même et récupérer de l’énergie, tant au niveau physique que psychologique. Les proches doivent comprendre que le patient peut se sentir encore fatigué et lui laisser du temps.

Il arrive souvent que des patients remettent en cause des aspects de leur vie, alors que leurs proches désirent avant tout que la vie redevienne « comme avant ». Ils peuvent être inquiets de certains changements de vie auxquels le patient aspire. Le patient peut se sentir bousculé, tout en se culpabilisant de ne pas parvenir à être comme avant la maladie. Il est important d’accepter que cette réadaptation prenne du temps. Pour la personne malade, les choses ne seront désormais plus tout à fait comme avant.

Et elles ne peuvent pas l’être ; C’est une évidence !

Cette « aventure », me fait prendre beaucoup de recule, tant dans ma vie familiale que dans ma vie professionnelle.

Les choses se mettent doucement en place dans mon esprit.

Je ne pense pas à faire ou à être comme avant : non, je fais avec ce que j’ai aujourd’hui, ce que je suis aujourd’hui. Je suis en évolution et j’en ai pleinement conscience ; nous le sommes tous, mais nous ne le ressentons pas forcément.

Cet été, je me faisais la réflexion suivante : Tous ces grands maîtres, tous ces « Eveillés » qui sont morts pour la plupart de graves maladie, comment est-ce possible ? avec leur mode de vie, de pensées ?…

Je crois que j’ai la réponse : je ne suis ni éveillée ni quoique ce soit, ce n’est pas parce que j’ai une casquette de « thérapeute » que je suis à l’abri de quoique ce soit : je suis tout simplement un Être humain doté de ses faiblesses et de ses forces, vulnérable. Ca ne veut pas dire que je sois uniquement « fragile », mais cette part de fragilité fait aussi partie des multiples facettes qui me constituent. Et ça, je crois que c’est primordial d’en avoir conscience.

Alors, je ne sais pas si ce témoignage pourra en aider quelques- unes à traverser cette étape, moi, ça me fait du bien d’en parler et surtout, je pense que mon écoute n’en sera que plus approfondie et me mettra encore au plus près du ressenti, pour aider chacune à exprimer ses peurs, ses angoisses, ses désirs, ses émotions.

Voilà, je m’arrête là, mais j’ai encore tant de choses à dire… une autre fois peut-être !

De tout mon cœur.488136_318291978260493_1573265218_n[1]

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Le point de vue de Serge Fitz sur la maladie

Aujourd’hui, j’ai envie de vous faire découvrir, si vous ne le connaissez pas, Serge FITZ:

SERGE FITZ , « Chercheur dans l’âme »
Auteur de nombreux ouvrages sur la géobiothérapie et la santé, Serge Fitz prône l’épanouissement de l’Etre par la conscientisation des entraves à la réalisation de soi-même (et non par l’acquisition de nouveaux savoirs ou de nouvelles techniques).  Créant le concept de l’éco-médecine, il se livre à une véritable écologie de la santé. La particularité de sa démarche réside dans l’utilisation de la radiesthésie appliquée. Cet outil permet en quelques minutes de dresser un check up complet mettant en évidence les freins à la libre circulation des énergies. Cette approche rend perceptible à tout moment le filigrane « fractal » des obstacles en cause : biologiques, psychologiques, géobiologiques, karmiques, spirituelles et environnementales, au niveau des corps subtils et physique. Elle place à tout moment l’individu au centre d’un enjeu : s’épanouir et se réaliser par la levée des obstacles et non par l’apport de forces extérieures, ce qui équivaudrait à accélérer, alors que le frein (inconscient) est toujours serré ! Mis en pratique dans les ateliers de Terre et Ciel, ce concept donne à tout un chacun, la possibilité de découvrir son propre potentiel

Je viens de lire un article qu’il a écrit et qui me parle beaucoup. je vous le donne ici à lire, car peut-être, comme moi, il vous fera réfléchir.

Je suis convaincue, que la maladie a quelque chose à exprimer. A nous faire exprimer. Je l’ai trop longtemps vu et ressenti avec ma mère, il était indéniable qu’en étant malade elle recherchait quelque chose qu’elle ne savait obtenir autrement. Aujourd’hui, moi-même à travers l’épreuve que je vis, je prends le temps d’aller rencontrer ce que ce « cancer du sein » à gauche, me fait vivre. Je touche du doigt, de la pensée aussi ce qui n’ose s’exprimer clairement. Ce n’est pas un chemin facile, mais il me montre ce que j’ai encore à nettoyer au niveau de mes croyances.

Ce n’est pas parce que j’ai une casquette de « Sophro-analyste » que je suis à l’abri de tout! (J’aimerais!), NON, je suis juste un être humain doté d’une éducation, de croyances, de peurs, de questionnement comme tout à chacun.

Moi aussi, j’ai parfois la trouille d’aller regarder tout au fond de moi, et pourtant, pour me donner du courage, je me dis cette citation de Victor Hugo:

« Soyez comme l’oiseau posé pour un instant sur des rameaux trop frêles, qui sent plier la branche et qui chante pourtant, sachant qu’il a des ailes. »

Alors, je me sens comme l’aigle*, celui de mes méditations qui m’a donné tant de courage, et je me met au contact de ma puissance intérieure de guérison.

* Voir dans mes anciens post la méditation sur l’aigle. Si vous ne la trouvez pas, n’hésitez pas à me le faire savoir et je vous la redonnerai.

Belle journée à vous tous!coeur de pétales de rose

Champs unifiés de la conscience santé
Affronter la maladie par «le vouloir guérir» est un leurre, car le dénouement se situe sur le terrain des causes et des enjeux cachés du malade.

Lorsque la santé  d’un individu se dégrade, il est convenu de considérer qu’il est atteint d’une maladie qu’il faut combattre à tout prix.  On se place d’emblée dans un terrain d’affrontement, sans chercher à comprendre les raisons de son apparition. Le malade  est invité à lutter contre sa maladie avec une armada de moyens chimiques destinés à bloquer la réaction du corps. Sachant qu’en pareille situation, l’individu se trouve  généralement lui-même en conflit sur le plan relationnel ou affectif, le terrain de l’affrontement se trouve étendu. Une véritable guerre sur tous les fronts ! Le stress est à son maximum.

Difficile à supporter !
Sachant que le stress est, en tant que tel, pathogène, on peut facilement présumer qu’il y a une incohérence dans cette manière de gérer la situation.

Qu’en est il ?
La maladie est une notion abstraite, mais sa personnalisation l’a transformé en un mythe. En réalité ce que l’on appelle maladie est une réaction du corps à quelque chose ou à quelqu’un. On ne peut par conséquent guérir d’une maladie. Quel que soit la forme du  dépistage employé,  il  éloigne le patient de son processus de guérison, car il ancre l’idée d’un état statique.

« Ce n’est pas la maladie ou l’infirmité qui guérit, mais la personne » ( Eric Pearl).
Il est donc essentiel de quitter le terrain des affrontements maladie / guérison pour entrer dans celui de la compréhension des causes.

ESPACES DE  DENOUEMENT DES SITUATIONS  PATHOGENES

Il arrive que la maladie s’installe en tant qu’écran de fumée entre deux personnes. Lorsque par exemple un enfant qui n’a pas été désiré, tombe malade, la lutte contre la maladie voile la réalité  de la situation. Elle crée une distance entre l’enfant, qui sait qu’il a été rejeté et le parent  qui se sent coupable et n’ose l’exprimer.  Elle donne la possibilité de ne pas affronter la vérité. Le rôle du thérapeute est de remonter à la source et de  montrer que les stigmates sur le corps de l’enfant révèlent un non dit, celui de l’occultation du rejet. Difficile d’avouer à son enfant qu’on ne l’a pas voulu. Mais l’enfant le sait et l’exprime par sa maladie.  Vouloir la guérir, vouloir le guérir, apparaît comme un non-sens.  Ce n’est pas l’enfant qui est malade, mais la relation entre lui et le parent. Dans ce climat de mensonges, un malentendu s’installe tant que la réalité du « mal à dire » n’est pas découverte.

Lorsque le nœud du problème est décelé alors tout s’éclaire subitement.

On ne parle plus alors de maladie, mais d’une relation à restaurer et de plaies affectives   à cicatriser. Lorsque ce processus entre dans sa phase de réalisation,  la maladie s’efface d’elle-même, car elle n’a plus de raison d’être.  Il est important de comprendre que vouloir guérir une maladie, sans en rechercher l’enjeu, revient à bâillonner l’expression, codée en symptômes, d’une souffrance psychologique et affective. La  solution n’est pas dans la guérison, mais dans la compréhension.

LE REFUS DE LA GUERISON

Cette compréhension peut aller jusqu’à découvrir que le malade n’a absolument pas envie de guérir, que la maladie lui sert de moyen pour arriver à ses fins, ou d’alibi ou bien encore de faire  valoir.  Combien de femmes sont inguérissables par ce qu’elles retiennent un mari volage par leur maladie.   Pour elles, la guérison  signifierait la perte de l’homme aimé. Combien d’hommes se réfugient dans la maladie par peur d’affronter le monde du travail qui les a bousculé.

Avant même de songer au vouloir guérir une maladie, il importe donc de ressentir et de découvrir sur quel terrain on se trouve. La découverte  du point d’achoppement permet de sortir de la dualité  maladie / guérison et entrer dans la perception  du champ unifié de la conscience santé.  Cette sortie permet de récupérer beaucoup d’énergie, qu’il devient possible de mettre à profit dans les processus d’auto – guérison. Le seul objectif à viser est la mise en place de tels processus, faute de quoi on confond guérison  et rémission.

Éric Pearl  met en évidence avec beaucoup de malice et de lucidité que dans le mot diagnostic,  il y a : di / deux et agnostique / celui qui affirme ne pas savoir ! Face au diagnostic, nous nous trouvons par conséquent dans une situation  tragi-comique de deux personnes qui ne savent pas de quoi exactement  elles  parlent. Le diagnostic éloigne le malade de son processus de guérison. Il est l’écran qui empêche  l’instauration d’un dialogue humain entre le médecin et le patient.  Le premier pose des étiquettes médicales sur des symptômes, le second reste privé de la possibilité d’exprimer son  mal être.  Tous deux effectivement ne savent pas, ne savent pas établir la passerelle entre le médical et l’humain, ne savent pas établir la passerelle entre l’humain et les enjeux de l’âme.  Nous sommes dans le quiproquo où chacun joue son rôle sans  « rencontrer » l’autre. Cela est d’autant plus regrettable que tout médecin persuadé, en toute bonne foi venir en aide au patient, affirme par l’étymologie du mot diagnostic qu’au fond, il n’a pas la gnose, il ne sait pas. Certains en prennent conscience et s’orientent vers les médecines parallèles. Ce chemin est parfois jonché de ronces et d’épines au risque de devenir un chemin de croix.

APPROCHES QUANTIQUES  DE LA GUERISON

De nouvelles approches ont surgi et font appel à une énergie matricielle permettant  d’œuvrer en dehors  de toute velléité de compréhension. Elles fonctionnent par un lâcher-prise et une confiance qui permet d’obtenir des résultats particulièrement intéressants. Nous avons quant à nous eu une immense joie d’y découvrir l’un de nos vieux préceptes du « je ne sais pas » qui à travers le vide ainsi ménagé permet de se remplir d’une solution toujours nouvelle (potentiel). Il y a quelque chose de magique dans cette démarche, mais il est vrai que dans la magie il y a l’âme-qui-agit et on sait, grâce à Grabovoï, que c’est elle qui construit et reconstruit le corps physique. Il y a donc dans ces nouvelles réalités une admirable et merveilleuse conjonction entre la science, la conscience et la spiritualité.©Serge Fitz décembre 2012

serguei.fitz@gmail.com   –  www.lequadrant.com    www.sante-info-russie.com/

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De quoi s’alimentent les cellules cancéreuses

Voici un article intéressant:

Un des hôpitaux les plus reconnus au monde change sa vision au sujet du cancer.’hôpital John’s Hopkins Hospital est un hôpital universitaire situé à Baltimore dans l’État du Maryland aux États-Unis.Fondé grâce à un don de John’s Hopkins, il est aujourd’hui un des hôpitaux les plus reconnus au monde et est classé pour la 17e année consécutive en première place du classement des meilleurs hôpitaux des États-Unis.Après de nombreuses années à dire aux gens que la chimiothérapie est l’unique manière de traiter et éliminer le cancer, l’hôpital John Hopkins commence à dire aux gens qu’il y a d’autres alternativeque la chimio:

Une manière efficace de combattre le cancer est de ne pas donner à manger aux cellules cancéreuses avec ces aliments dont elles ont besoin pour se multiplier.

LES CELLULES DU CANCER S’ALIMENTENT DE :

a. Le SUCRE est un aliment du cancer. Ne pas consommer de sucre coupe un des éléments les plus importants des cellules cancéreuses. Il
existe des substituts du sucre comme la saccharine, mais ils sont faits avec de l’ Aspartame et sont très nocifs… Un meilleur substitut du sucre est le miel de manuka ou la mélasse mais en petites quantités.

Le SEL contient un additif chimique afin de paraître blanc. Une meilleure alternative pour le sel est le sel de mer ou les sels végétaux.

Le LAIT cause dans le corps la production de mucus, spécialement dans le conduit intestinal.Les cellules cancéreuses s’alimentent de
mucus. En éliminant le lait et en lui substituant du lait de soja, les cellules du cancer n’ont rien à manger, par conséquent elles meurent.

c. Les cellules cancéreuses murissent dans un milieu ambiant acide. Un régime à base de VIANDE ROUGE est acide, il vaut mieux manger du poisson et un peu de poulet à la place de la viande de bœuf ou de porc. De plus, la viande contient des antibiotiques, hormones et parasites qui sont très nocifs, spécialement pour les personnes cancéreuses. La protéine de la viande est très difficile à digérer et requiert beaucoup d’enzymes. La viande qui ne se digère pas reste dans le corps et se putréfie ce qui entraîne la création de plus de toxines.

COMMENT CONTRIBUER A LA SOLUTION DU PROBLÈME

a) Un régime de 80% de végétaux frais et jus, céréales, graines, noix, amandes et seulement un peu de fruits mettent le corps dans un milieu
ambiant alcalin. On doit consommer seulement 20% de nourriture cuite, incluant les haricots. Les jus de légumes frais provisionnent le corps
en co-enzymes qui sont faciles à absorber et arrivent aux cellules 15 minutes après avoir été consommés pour nourrir et aider à former des
cellules saines. Pour obtenir des enzymes vivantes qui aident à construire des cellules saines, on doit essayer de boire des jus de
légumes (pratiquement tous incluant l’alfafa) et manger beaucoup de légumes frais 2 ou 3 fois par jour.

b) Éviter de prendre du CAFÉ, THÉ ET CHOCOLAT, qui contiennent beaucoup de caféine. Le THÉ VERT est une meilleure alternative et a
des propriétés qui combattent le cancer. Il est préférable de boire L’EAU purifiée ou filtrée pour éviter les toxines et métaux lourds de
l’eau du robinet. L’eau distillée est acide, ne pas la boire.

c) Les parois des cellules cancéreuses sont couvertes par une protéine très dure. En évitant de manger de la viande, ces parois libèrent plus
d’enzymes qui attaquent les protéines des cellules cancéreuses et permet au systèmes immunitaire de détruire les cellules cancéreuses.

d) Quelques suppléments aident à reconstruire le système immunitaire: Floressence, Essiac, anti-oxydants, vitamines, minéraux, EPA – huile
de poisson) pour aider les cellules à lutter et détruire les cellules cancéreuses. D’autres suppléments comme la vit. E sont très connues
parce ce qu’elles causent l’apoptose,la méthode normale du corps pour éliminer les cellules inutiles ou défectueuses.

e) Le cancer est aussi une maladie du mental, le corps et l’esprit. Une attitude plus active et positive aidera le malade du cancer à
combattre et à se convertir en survivant. « La rage et l’incompréhension, le non-pardon mettent le corps dans une situation de stress et dans un milieu ambiant acide ». Apprendre à avoir un esprit aimable et amoureux avec une attitude positive est très bénéfique pour la santé. Apprendre à se relaxer et jouir de la vie.

F) Les cellules du cancer ne peuvent vivre dans une ambiance oxygénée. L’exercice journalier, la respiration profonde aide à recevoir plus d’oxygène jusqu’aux niveaux cellulaires. La thérapie d’oxygène est un autre élément qui aide à détruire les cellules du cancer.

1. Pas de contenants en plastique dans le micro-ondes.
2. Pas de bouteille d’eau dans le congélateur.
3. Pas de film plastique dans le micro-ondes.

g) Les substances chimiques comme les dioxines causent le cancer, spécialement du sein. La dioxine est très destructrice, Spécialement pour les cellules du corps.
Ne pas mettre au réfrigérateur ses bouteilles d’eau en plastique car le plastique « transpire » les dioxines et empoisonne l’eau.

Récemment, le Docteur Edward Fujimoto, directeur du programme Bien- Être à l’hôpital Castle, parut dans une émission télévisée et expliquait le danger de la dioxine.
Il a dit que nous ne devons pas mettre les contenants en plastique au micro-ondes. Spécialement les nourritures qui contiennent du gras. Il dit que la combinaison de gras et lla forte chaleur avec le plastique transporte la dioxine à l’intérieur de la nourriture et par conséquent ensuite à notre corps.

A la place, on peut utiliser du verre comme Pyrex ou de la céramique pour chauffer la nourriture.

Source: tabuzz

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Un point de vue sur le pourquoi des boutons ou taches sur le visage, en Médecine Chinoise

J’ai reçu ce matin ce document et je le trouve très intéressant, c’est pourquoi je décide de le partager avec vous.

Pourquoi j’ai toujours des boutons (ou taches) au menton ?

Pourquoi j’ai des boutons à certains endroits de mon visage et pas ailleurs ?

Si  vous vous êtes déjà posé la question, c’est le moment de parler de médecine chinoise.

Selon la médecine chinoise, la position de vos boutons n’est pas un hasard.

Certains endroits du visage seraient reliés à un organe du corps et à certaines émotions.

Le visage serait donc le miroir de l’esprit et du corps…

Alors, à quoi correspond l’emplacement de vos boutons ?

Je vous propose aujourd’hui de regarder un plan du visage qui résume ces points.

Quelles sont les zones où vous avez régulièrement des boutons (cela « marche » également pour des taches pigmentaires, des ombres, des cernes…) ?

Nous sommes généralement une « combinaison » de plusieurs zones…

Il faut cependant noter qu’en médecine chinoise, les organes cités ne correspondent pas littéralement aux organes physiques.

Ainsi, les « reins », en médecine chinoise, cela fait référence, entre autre, au système de reproduction et aux oreilles.

Cela peut sembler très étrange, mais la médecine chinoise s’appuie sur 5000 ans de sagesse, alors croyez-moi, on peut souvent lui faire confiance !

Des boutons au niveau du bas des joues ? (zone colon/poumon)

D’un point de vue physique :

  • Peut signifier des problèmes d’immunité. Se rapporte aux personnes dont le système immunitaire est faible, qui peuvent facilement par exemple, attraper froid, avec des rhumes à répétition.
  • Peut signifier des problèmes respiratoires, comme de l’asthme, un souffle court.
  • Peut signifier des problèmes de peau, tels que l’acné, comme de l’eczéma ou du psoriasis, liés à l’élimination par la peau.
  • Peut signifier des problèmes avec la voix.
  • Peut signifier des problèmes reliés à la sueur. Pas assez de transpiration ou trop pendant un exercice.
  • Peut signifier un oedème.
  • Peut signifier  un problème avec le système pileux : excès ou faiblesse.

D’un point de vue émotionnel :

  • Les émotion reliées à cette zone sont les émotions de chagrin, de deuil, de séparation d’avec un être cher.
  • C’est aussi relié à la nostalgie, au regret, à l’envie, au désir.
  • Enfin, c’est la zone du détachement.

Des boutons aux coins de la bouche, autour des sourcils et sous les yeux ? (zone du foie)

D’un point de vue physique :

    • Peut signifier un trop plein de toxines, dues à l’alimentation ou à l’environnement. Le foie est le principal organe de désintoxication.
    • Peut signifier des problèmes de migraines et de maux de tête.
    • Peut signifier des problèmes au niveau du système menstruel. La zone foie en médecine chinoise est celle qui est reliée aux problèmes de douleur pendant les règles, aux règles irrégulières, au syndrome prémenstruel.
  • Peut signifier des problèmes de constipation.
  • Peut signifier un problème avec un tendon ou un ligament : une cheville foulée, des douleurs au niveau du cou et des épaules…
  • Peut signifier des problèmes visuels : des yeux trop secs, chargés de sang, qui voient des taches…

D’un point de vue émotionnel :

  • La zone foie est reliée à la colère et à la frustration. Cela peut être une colère ancienne qui nous consume, une colère rentrée, un conflit très ancien jamais résolu.
  • Le foie est relié à l’irritation, la tendance à être impatient, à perdre son sang-froid rapidement.
  • C’est le siège de l’aigreur, de la rancune, de la rancoeur, du ressentiment.
  • C’est aussi connecté à la personne qui change d’humeur fréquemment, qui peut être lunatique ou souvent morose, maussade.
  • D’une manière générale, la zone foie est reliée au stress et aux émotions fortes car le foie est l’organe qui est aussi chargé de détoxiquer les émotions toxiques, ce que certains praticiens appellent les « toxines émotionnelles ».
  • D’une manière générale aussi, l’acné est souvent considérée comme un déséquilibre du foie…

Des boutons en haut des joues et sur le nez ? (Zone coeur)

D’un point de vue physique

  • Peut signifier des problèmes de transpiration excessive sur le coup des émotions.
  • Peut signifier des problèmes avec les yeux, mais plutôt sous l’angle émotionnel : yeux qui n’expriment rien, tics nerveux des yeux, problèmes à regarder les gens en face.
  • Peut signifier des problèmes de prise de parole : quelqu’un qui a des problèmes de bégaiement, qui bafouille, qui a peur de parler en public, qui n’ose pas dire quelque chose, ou quelqu’un qui parle trop ou pas assez.
  • Peut être relié à une chaleur excessive, à des problèmes de palpitations, de tachycardie, de douleurs dans la poitrine, l’impression d’une attaque cardiaque imminente.

D’un point de vue émotionnel :

  • Le coeur, c’est le blocage de la joie. Les émotions reliées sont les problèmes d’acceptation de soi, d’amour de soi, de rétrécissement, de ne pas donner son plein potentiel.
  • Une habitude ancienne d’émotions fortes comme l’anxiété, la colère, le chagrin, de détestation de soi peut conduire à un déséquilibre au niveau du coeur. Le coeur en médecine chinoise est le siège des émotions.
  • Le coeur est souvent relié à une réponse inappropriée aux émotions : personnes qui répondront par un sourire à l’annonce d’un décès…
  • Tout choc peut occasionner un problème avec la zone coeur.
  • Les personnes qui sont facilement surprises, qui vont par exemple vous voir mais qui sauteront quand même en l’air quand vous leur direz « hou » pour les surprendre…
  • Les personnes qui marchent en sautant, dont on a l’impression qu’elles ne touchent pas le sol… ont souvent un déséquilibre coeur.
  • Une tendance à avoir un enthousiasme déséquilibré : les personnes « coeur » peuvent ne pas être assez enthousiastes, déprimés, ou trop enthousiastes, donnant l’impression d’être sous médicaments.

Vous avez des boutons au niveau des lèvres et de la bouche, entre les sourcils, sous les yeux ou du coté des mâchoires ? (Zone rate/estomac)

D’un point de vue physique :

  • La rate et l’estomac sont les principaux organes de la digestion en médecine chinoise. Des problèmes reliés à ces zones peuvent se manifester par des lourdeurs, des ballonnements, des problèmes d’appétit (excessif ou insuffisant), de la constipation.
  • Peut être relié à l’humidité ou des aliments trop lourds qui se manifestent par des boutons dans la zone rate.
  • La rate est l’organe en médecine chinoise qui nous donne le l’énergie. Si vous avez des problèmes de rate, il est possible que vous manquiez d’énergie.
  • Peut être relié aux problèmes de circulation, notamment circulation sanguine : la rate étant l’organe qui produit l’énergie, et l’énergie circulant dans tout le corps, des problèmes de rate se traduisent par une circulation insuffisante. On peut facilement voir le lien avec les problèmes d’hématomes, certains problèmes de cycle menstruel, l’anémie…
  • Les personnes ayant un déséquilibre rate/estomac auront souvent tendance à la peau sèche, à la bouche sèche, et des problèmes au niveau de la bouche et des lèvres, comme les lèvres gercées ou des boutons de fièvre dans ces zones.
  • Peut signifier des problèmes musculaires, comme des crampes.
  • Peut être relié aux varices, aux hémorroïdes.
  • Souvent, la personne à un teint de nuance jaune.

D’un point de vue émotionnel :

  • L’émotion majeure liée à la rate : la tendance à se faire du souci, à trop penser, et l’épuisement mental excessif général.
  • On retrouve souvent un déséquilibre de la rate chez les personnes qui travaillent trop, qui n’ont pas un bon équilibre entre leur vie professionnelle et personnelle.

 Vous avez des boutons au niveau du menton, bas des machoires, sous les yeux ou aux oreilles ? (Zone reins)

D’un point de vue physique :

  • Peut signifier des problèmes au niveau du système reproducteur : cela inclut les hormones de la reproduction, les problèmes de fertilité, de menstruation, et éventuellement de syndrome des ovaires polykystiques. Selon la médecine chinoise, mais aussi japonaise et vietnamienne, le menton est le point réflexe lié à la production des hormones sexuelles. Un déséquilibre de la zone reins peut donc signifier un déséquilibre hormonal.
  • Peut signifier des problèmes osseux, de croissance et de développement. Certaines pathologies liées sont l’ostéoporose, les problèmes dentaires et les os fragiles.
  • Peut signifier des problèmes urinaires.
  • Peut avoir un rapport avec la santé des cheveux.
  • Problèmes de jing. Le jing, en médecine chinoise, c’est la force de la vie, ce qui nous garde vivant. Nous naissons tous avec un certain montant de jing, et lentement mais surement nous en perdons avec les années qui passent. Certaines activités nous font perdre du jing plus rapidement que d’autres : les drogues (surtout celles qui influent sur la composition chimique du cerveau ou qui activent), la caféine et le stress. Ces activités peuvent poser des problèmes au niveau de la zone reins, car le jing se situe dans les reins.

D’un point de vue émotionnel :

  • La zone reins est surtout reliée à la peur, aux sentiments d’insécurité et d’isolation.
  • Elle a aussi un rapport avec des problèmes de volonté, à l’impression d’être distant ou apathique, aux problèmes de discipline personnelle.

Vous avez des boutons au niveau de la ligne des cheveux et sur le front ? (Zone vésicule biliaire)

D’un point de vue physique

  • La vésicule biliaire est associée au foie du point de vue des symptômes physiques.
  • Peut signifier des problèmes au niveau du système menstruel. C’est une zone qui est reliée aux problèmes de douleur pendant les règles, aux règles irrégulières, au syndrome prémenstruel.
  • Peut signifier des problèmes de constipation.
  • Peut signifier un problème avec un tendon ou un ligament : une cheville foulée, des douleurs au niveau du cou et des épaules…
  • Peut signifier des problèmes visuels : des yeux trop secs, chargés de sang, qui voient de taches…
  • Peut signifier un trop plein de toxines, dues à l’alimentation ou à l’environnement, problème de désintoxication.
  • Peut signifier des problèmes de migraines et de maux de tête.

D’un point de vue émotionnel :

  • Problèmes reliés au courage, à la timidité.
  • Problèmes de jugement, d’accès à sa sagesse intérieure, difficulté à prendre des décisions ou tendance à prendre des décisions trop hâtives.

Bien sûr, toutes ces données ne sont pas à prendre littéralement… Cependant, je les ai trouvées très utiles dans ma clinique de soin de peau, car elles me permettaient d’avoir des pistes sur l’origine de certains problèmes. En recoupant avec d’autres informations, nous arrivions souvent à des résultats étonnants…

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Voyage au fil des sens à Paris

atelier V a sensBonsoir à vous tous,

J’ai décidé de garder les dates de cet atelier à Paris. Ayant eu de bonnes nouvelles concernant le cancer du sein pour lequel j’ai été opérée, et ne commençant la radiothérapie que fin novembre en principe, je souhaite donc animer cet atelier.

je vous en rappelle les dates:22,23,24 novembre 2013.

Si vous souhaitez y participer, ne tardez pas, car je clôturerai les inscriptions le 15 novembre prochain.

Vous pouvez retrouver les détails concernant cet atelier à la rubrique « Ateliers ».
De la même façon, je maintiens les dates de l’atelier « Être au coeur de soi ».logo olfacto blog Je vous rappelle que l’atelier N°1 débutera le 30 novembre et le 1er décembre. (Voir tous les détails à la rubrique « Ateliers » : calendrier et tarifs)

Je clôturerai les inscriptions le 20 novembre prochain.

A très bientôt donc.

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