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Le Lâcher-prise: Quezako?

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Le Lâcher-Prise, Quezako?

Catherine Béhar Live·jeudi 2 novembre 2017

Pour préparer le Live de samedi prochain, j’ai tenu à écrire ces quelques lignes,qui feront aussi un pont entre mes précédents Lives à la fois sur l’aroma/olfacto et le développement personnel.
Le terme lâcher-prise est souvent interprété de façon erronée. C’est un terme, qui pour certaines personnes, peut représenter émotionnellement un danger vital.
Pourtant la définition du Lâcher prise est tout simplement, de laisser partir tout ce dont nous n’avons plus besoin pour avancer dans une direction particulière.
Lâcher-prise, ne signifie pas ne plus rien contrôler et tout laisser partir à vau-l’eau, non bien sûr!
Lâcher-prise, c’est se libérer de nos émotions et de nos croyances négatives ou difficiles qui au final nous paralysent ,plutôt que de nous permettre de prendre du recul pour mieux les accueillir et voir ce que l’on peut faire avec.
Il ne s’agit pas d’occulter ce type d’émotions ou de croyances, mais bien de les vivre et de les extérioriser pour retrouver son énergie vitale!
La première chose à mettre en place, c’est notre respiration, en nous concentrant sur elle, cela nous permet de prendre du recul et de commencer à identifier le problème. Cela nous ramène dans l’instant présent, et donc nous permet de reprendre la situation en main et de passer à l’action en faisant un choix.
Lors de mon dernier live, je répondais aux différentes demandes concernant la façon d’animer des ateliers d’Aroma/olfacto. mon expérience en tant que formatrice, m’a fait prendre conscience du manque de confiance des personnes qui venaient apprendre au moment de passer à l’action d’animer des séances individuelles oudes ateliers. Les raisons étant, qu’elles se persuadaient ne pas avoir suffisamment de compétences pour le faire, et reculaient à chaque fois ce moment de passer à l’action!
Pour autant, je leur réponds toujours la même chose: “commencez par faire avec ce que vous savez et avez comme outils, c’est en vous exerçant, que vous allez aussi acquérir de l’expérience! Car si vous attendez de recevoir votre diplôme, ou que vous attendez d’être “parfaits” en la matière, alors vous n’en ferez rien et attendrez longtemps avant de vous lancer à l’eau!
Cette croyance de perfection absolue, est un superbe leurre , il nous enferme dans la croyance que nous pouvons tout contrôler: est-ce-vrai? Non, il y a toujours une part d’inconnue à laquelle nous allons avoir à faire face…
Si vous avez envie d’en savoir un peu plus et de découvrir quelques méthodes pour apprendre à lâcher prise, je vous donne rendez-vous samedi 4 novembre à 10h30 sur la page suivante sur Facebook:

https://www.facebook.com/catherinebeharlive/

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A propos du mot « Massage »

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  Pour qu’il n’y ait aucune ambiguité,et pour répondre à certains,pour moi-même et je pense pour toutes les personnes responsables qui faisons profession de « massages », je  tiens à préciser ceci:

« – Le terme de « massage » est revendiqué et défendu, en France, comme un  monopole sémantique et une exclusivité d’usage par les instances professionnelles des « Masseurs kinésithérapeutes diplômés d’état ».
– pour autant,  le fait de proposer du « massage bien-être, de confort, de relaxation, de toucher massage, du massage d’hyper relaxation », n’a pas de vocation d’agir sur les capacités fonctionnelles du corps, mais d’apporter un mieux-être psychique et ou esthétique.
Ces « massages » ne sont pas thérapeutiques mais ont un usage de confort et de bien-être exclusivement, liés à leur caractère superficiel et leur objet ne sauraient être assimilés aux massages et mouvements de gymnastique médicale, dont la pratique est exclusivement réservée aux seuls titulaires de diplôme de masseur-kinésithérapeute, tel qu’il est prévu par l’article L.488 du Code de la santé publique et précisé par le décret n° 2000-577 du 27 juin 2000, relatif aux actes professionnels et à l’exercice de la profession de masseur-kinésithérapeute en son article 3 qui stipule:
« on entend par massage toute manoeuvre externe réalisée sur les tissus, dans un but thérapeutique ou non, de façon manuelle ou par l’intermédiaire d’appareil d’électrothérapie, avec ou sans l’aide de produits, qui comporte une mobilisation ou une stimulation méthodique, mécanique ou réflexe de ces tissus.
Donc à tous ceux qui nous « accusent » d’utiliser à tort ce terme, je m’engage,  à changer le mot « massage » par un autre dès que le législateur aura trouvé une meilleure formulation pour cette pratique millénaire du massage de confort et de bien-être, connue et pratiquée depuis la nuit des temps et aujourd’hui encore, au sein de toutes les cultures de la planète, sans être tenu de disposer d’un diplôme.

Ceci dit en passant qu’en ce qui me concerne, j’ai obtenu des diplômes de techniques de massage de différentes écoles, entre autre dans le cadre de l’esthétique(CAP d’esthéticienne et diplôme de cosmétologie et de massage de l’école internationale Lancôme; de massage énergétique chinois; et d’autres techniques appropriées à différents cursus.

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