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La maladie: amie ou ennemie?

Apprendre à regarder la maladie différemment,c’est comprendre que par elle nous exprimons un réel besoin que nous ne savons pas exprimer et dont nous n’avons pas toujours conscience.

Les stress que nous subissons sont plus ou moins importants. Le stress étant une situation qui nous met en conflit face à une problématique non résolue.( en anglais, stress signifie « souligner »,  » mettre le doigt »,  » mettre l’accent sur »).

Cette problématique dans notre inconscient, met en jeu notre avenir et ne nous permet pas de vivre pleinement l’instant présent.

Par conséquent, ce stress nous met en danger et notre cerveau sait que nous avons certain seuil de tolérance de celui-ci. Notre cerveau doit alors trouver une solution pour faire diminuer ce stress afin d’assumer la survie.

A savoir que dans l’inconscient biologique « comme si » correspond à « c’est », ce qui est une lecture au premier degrè.La maladie devient alors la solution parfaite du cerveau pour diminuer le stress et assurer monmentanément la survie de l’individu et de l’espèce!

Tout cela dépend bien sûr de notre histoire, de notre vécu…

J’ai envie ici, en me basant sur le travail de Caudia Rainville,Jean-Philippe Brébion, le Docteur Philippe Dransart, Annick de Souzenelle, Michel Odoul…pour ne citer qu’eux, de vous parler de la symbolique du corps.

Tout cela n’est pas à prendre au pied de la lettre, mais bien sûr une indication, un sens une direction à explorer qui peut-être peut vous aider à comprendre le pourquoi de la maladie, ce qu’elle a à vous dire.

Mais acceptez aussi de ne pas tout comprendre car se qui se passe dans notre psychisme n’est pas si simple. Laissez la porte ouverte, ces indications sont comme des clefs, elles peuvent ouvrir les portes de notre compréhension, de ce qui se dit à travers la maladie, mais elles peuvent aussi fermer à double tour cette compréhension, tout dépend de l’usage que l’on en fait.

N’oubliez pas qu’en Bioanalogie, les symptômes de la maladie et le vécu intérieur sont l’expression d’une seule et même réalité inséparable et que chaque élément de notre vie,chaque instant de  notre histoire, chaque partie de nous même est à l’image de la totalité de notre vie.(Je vous invite à relire l’article sur la Bioanalogie que j’ai écrit il y a quelque temps).

 

Je vous propose ici de découvir la poésie du corps.

La tête est ce qui dirige, elle a besoin de lucidité et de froideur (garder la tête froide), mais quelquefois l’émotion remonte et déborde la raison (ça nous prend la tête).

Par la nuque descend l’idée qui rencontre l’énergie du souffle et du coeur pour devenir un désir qui s’exprime, soit par la parole à travers le larynx, soit par l’action qui va se projeter dans le monde extérieur par les épaules, où l’on va trouver soit aide (se sentir épaulé), soit blocage (par la faute d’un « autre »).

Les membre supérieurs vont parler de l’action et de la capacité d’agir (avoir le bras long, les bras m’en tombent), à travers le coude qui nous parle d’ambition (jouer des coudes) de paresse (l’huile de coude), ce coude qui prend, qui donne et qui se plie aussi, quand il faut plier.

Le poignet procure à la fois souplesse et fermeté, dans un juste dosage (à la force du poignet), sur lequel s’appuiera l’habileté des mains ( en un tournemain), mais aussi leur capacité d’échanger, ou de commander (d’une main de fer) enfin la dextérité des doigts, lesquels nous parlent de la connaissance (toucher du doigt).

La colonne est ce qui nous permet de tenir debout face à la vie (avoir les reins solides), qui nous permet de porter la charge ( en avoir plein le dos) et quelquefois de prendre des coups par derrière ( on lui casse du sucre sur le dos).

Les membres inférieurs vont nous permettre d’avancer mais aussi d’aller vers les autres, d’entrer en relation, personnelle ou sociale, c’est l’histoire de l’enfant qui se redresse et découvre le monde.

Nous prenons appui sur les hanches et quelquefois cet appui nous manque, un peu comme dans l’épaule, mais la hanche est plus facilement sensible à la trahison.

Le genou nous rappelle que pour avancer il nous faut plier, quelquefois jusqu’à mettre un genou à terre et surmonter notre orgueil…

La cheville imprime la direction à prendre, elle est aussi un point de faiblesse dans notre relation au monde (tendon d’Achille).Le pied par le talon dit notre assise et par les orteils avance dans ce monde relationnel avec plus ou moins de conviction (Se faire marcher sur les pieds)

( à suivre…)

 
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Message à toutes les personnes en cours de thérapie

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J’ai envie de m’adresser à toutes les personnes qui suivent une thérapie, qui font un travail de développement personnel pour les encourager à poursuivre leur travail dans cette direction.

En effet, beaucoup d’entre vous se laissent avoir par les leurres de leur inconscient à un certain stade de leur évolution.

Il arrive que nous pensions que nous n’avançons plus, que cela devient encore plus douloureux, que nous n’y arriverons jamais. Que nous n’en sommes pas capables. Que ce que nous découvrons nous fait encore plus souffrir…
Alors on décide de tout arrêter par peur…
Et bien c’est justement là qu’il ne faut pas baisser les bras et se laisser leurrer, c’est là que nous sommes le plus fragile et que nous avons besoin d’aide, de sécurité. Cette sécurité nous ne pouvons pas encore nous l’apporter complètement parce que souvent nous n’utilisons pas les outils que le thérapeute ou le coach nous proposent, et qu’il y a plein de choses encore que nous ne connaissons pas.

Tout cela est normal à ce stade de votre évolution, alors accrochez-vous, ne croyez pas que vous allez y arriver tout seul ou toute seule, là pour le moment, car si tel était le cas, seriez-vous là dans cet état de souffrance?
En fait en agissant ainsi, vous ne faites que vous confirmer votre scénario de départ que vous avez mis en place à un moment donné pour vous protéger d’une croyance et éviter de souffrir, mais ce scénario est là pour vous confirmer ce que vous avez cru à l’instant où il s’est passé, et comme à ce moment là vous ne saviez pas ce que vous découvrez aujourd’hui, c’est comme si vous n’aviez pas eu d’autre choix que d’agir et de décider comme vous l’avez fait.
Ce mécanisme de protection en réalité déjà c’est VOUS qui l’avez mis en place et il vous a apporté des bénéfices dont un essentiel: C’est d’être là aujourd’hui: il a répondu à votre instinct de survie!
VOUS ENTENDEZ?
C’est Vous qui avez choisi d’agir ainsi. C’est à dire que vous avez été capable d’utiliser des ressources en vous pour décider de vivre.
C’est cet instinct de vie qui vous a permis de continuer. Vous voyez en fait vous êtes tout à fait capable de réussir, d’y arriver, vous avez de merveilleuses ressources en vous, vous les utilisez déjà…mais inconsciemment!
Aujourd’hui la thérapie est là pour vous aider à le faire en conscience et en confiance.
Alors ce n’est vraiment pas le moment de laisser tomber!
Devenez acteur de votre vie, ne vous laisser pas emprisonner dans des chaînes que VOUS avez mises autour de vous parce que vous ne saviez pas faire autrement; vous pouvez faire autrement.

La thérapie, le travail sur soi n’est pas un long fleuve tranquille, mais si vous décidez d’utiliser les outils que l’on vous propose pour vous aider à vous sécuriser à faire autrement, si vous acceptez de regarder les choses différemment, alors OUI, vous y arriverez.La thérapie est là pour pous rendre autonome.
Faites en au moins une fois l’expérience, et vous verrez, ça vaut vraiment le coup!

Aujourd’hui, vous n’êtes plus tous seuls, aujourd’hui est différent d’hier, parce que aujourd’hui vous découvrez, vous comprenez et que vous avez consciemment le choix d’agir.

Je vous propose d’aller relire ce que j’ai écrit au sujet d’agir consciemment et inconsciemment ( je pense que vou retrouverez l’article dans la rubrique: « sophrologie » ou « divers ») ou sur Naturavox.

Voilà, je me devais de vous dire tout ça, maintenant le reste vous appartient.
Que ce message vous apporte la lumière dont vous avez besoin pour sortir de l’ombre de vos pensées.

Je vous souhaite à tous et à toutes une belle évolution.

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Donner du sens à sa vie

Laissez-moi vous confier ce conte:

Les deux jarres et le porteur d’eau

Un porteur d’eau indien avait deux jarres, suspendues aux deux extrêmités d’une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules. L’une des jarres avait un éclat et, alors que l’autre jarre conservait parfaitement toute son eau de source jusqu’à la maison du maître, l’autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse cargaison en cours de route. Ceal dura deux ans, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d’eau ne livrait qu’une jarre et demi d’eau à chacun de ses voyages.

Bien sûr, la jarre parfaite était fière d’elle, puisqu’elle parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille. Mais la jarre abîmée avait honte de son imperfection et se sentait déprimée parce qu’elle ne parvenait à accomplir que la moitié de ce dont elle était capable. Au bout de deux ans de ce qu’elle considérait comme un échec permanent, la jarre endommagée s’adressa au porteur d’eau, au moment où celui-ci la remplissait à la source:

– je me sens coupable, et je te prie de m’excuser.

– Pourquoi? demanda le porteur d’eau. De quoi as-tu honte?

-je n’ai réussi qu’à porter la moitié de ma cargaison d’eau à notre maître, pendant deux ans, à cause de cet éclat qui fait fuir l’eau. Par ma faute, tu fais tous ces efforts, et à la fin, tu ne livres à notre maître que la moitié de l’eau. Tu n’obtiens pas la reconnaissance complète de tes efforts, lui dit la jarre abîmée.

Le porteur d’eau fut touché par cette confession, et, plein de compassion, répondit:

– pendant que nous retournerons à la maison du maître, je veux que tu regardes les fleurs magnifiques qu’il y a au bord du chemin.

Au fur et à mesure de leur montée sur le chemin, au long de la colline, la vieille jarre vit de magnifiques fleurs baignées de soleil sur les bords du chemin, et cela lui mit du baume au coeur.

Mais à la fin du parcours, elle se sentait toujours aussi mal parce qu’elle avait encore perdu la moitié de son eau.Le porteur d’eau dit à la jarre:

– t’es-tu rendu compte qu’il n’y avait de belles fleurs que de TON côté, et presque pas du côté de la jarre parfaite? C’est parce que j’ai toujours su que tu perdais de l’eau, et j’en ai tiré parti. J’ai planté des semences de fleurs de ton côté du chemin et, chaque jour, tu les as arrosées tout au long du chemin.

Pendant deux ans, j’ai pu grâce à toi cueillir de magnifiques fleurs qui ont décoré la table du maître. Sans toi, jamais je n’aurais pu trouver des fleurs aussi fraîches et gracieuses ».

Morale de cette histoire?

Nous avons tous des éclats, des blessures, des défauts. Nous sommes tous des jarres abîmées.

Certains d’entre nous sont diminués par la vieillesse, d’autres ne brillent que par leur intelligence, d’autres trop grands, trop gros ou trop maigres, certains chauves, d’autres sont diminués physiquement… Mais ce sont les éclats, les défauts en nous qui rendent nos vies intéressantes et exaltantes.

Il vaut mieux prendre les autres tels qu’ils sont, et voir ce qu’il ya de bien et de bons en eux. Il y a beaucoup de positif partout. Il y a beaucoup de bon en vous! Ceux qui sont flexibles ont la chance de ne pas être déformés. Souvenez-vous d’apprécier tous les gens si différents qui peuplent votre vie! Sans eux, la vie serait bien triste.

Apprenez à aimer vos imperfections!

Je vous laisse méditer sur ce conte, à bientôt!

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Exercice pour tous

 

Je vous propose de prendre un moment pour vous et de faire cet exercice.

 

Imaginez que vous avez envie d’aider un ami très cher.

 

Vous désirez très sincèremnt l’aider dans sa démarche, vous avez très envie d’en prendre soin. Il n’est pas toujours à l’écoute mais vous ne voulez pas le blesser et vous mettez les formes pour vou faire entendre.

 

Prenez conscience de la façon dont vous vous y prenez …

 

Puis, mettez-vous à sa place, de son point de vue …

 

Ecoutez comment vous percevez alors l’aide qui vous est proposée…

 

Que se passe-t-il? Que ressentez-vous?

 

Appréciez-vous? Cela vous aide-t-il?

 

ET SI CET AMI C’ETAIT VOUS?

 

Faites exactement pour vous ce que vous êtes capable de faire pour votre ami.

 

 

 

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Qu’est-ce qu’être parfait?

 

Qu’est-ce qu’être parfait ?

Pour toutes celles et tous ceux qui ne se pensent pas parfaits, voici un outil de réflexion pour vous montrer le contraire et reprendre confiance en vos capacités.

Imaginez un petit embryon, dans le ventre de sa maman et qui ressent des émotions, disons plutôt négatives venant d’elle, et qui s’en empreigne, vous pouvez imaginer facilement qu’à cet instant là, ce petit embryon n’a pas les moyens de dire ce qu’il ressent et n’a pas la moindre idée qu’un jour, il aura la parole, les mots pour le faire ; à ce moment précis, il est inconsciemment incapable de dire ce qu’il ressent.Il n’en a pas la moindre idée. 

Et puis ce petit embryon va grandir, va naître, va commencer à « babiller », mais sans pourtant pouvoir vraiment se faire comprendre et dire ce qu’il ressent, mais se rend compte du pouvoir qu’il a sur les adultes, il devient consciemment incompétent de pouvoir se faire vraiment comprendre, d’où parfois les colères !

 Et, il continue à grandir, va à l’école et commence à apprendre à lire, à parler, à communiquer : il devient consciemment compétent,c’est-à-dire qu’il peut dire, ce qu’il ressent (enfin normalement, et parfois il arrive qu’il ne se sente pas entendu ! mais ça c’est un autre sujet à traiter…) Il prend donc conscience qu’il a le pouvoir de « faire », de « dire »…

 Enfin, plus tard, la parole pour lui est « monnaie courante », il a oublié qu’il n’avait pas su parler, c’est un automatisme. A ce moment là, il est : inconsciemment compétent.

 Vous pouvez voir ainsi, qu’à chaque étape de sa vie, cette personne a toujours été « Parfaite » dans ses capacités, elle ne pouvait, à ces différents moments, absolument pas être différente, car elle n’avait pas la connaissance suffisante acquise pour s’exprimer.

Comprenez par là, que quoique vous fassiez dans votre vie, au moment où vous le faites, c’est toujours avec ce que vous avez, là où vous êtes et que tant que vous n’avez pas d’autres informations, d’autres connaissances à ce moment précis, c’est comme sivous n’aviez pas d’autre choix d’agir autrement : donc, OUI, à ce moment là vous êtes parfait ! Alors arrêtez de vouloir à tout prix (au risque de vous perdre), être parfait

A méditer, sans modération  ni contre- indication !

 

 

 

 

 

 

 

 

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A propos de gémellité

Je suis tombée sur cet article concernant certaines infos sur les gemellités dans le Monde du 27 mars 2007 et je le recopie ici, afin de vous informer et peut-être pour certains « cartésiens » de les faire réfléchir sur le sujet.(http://www.lemonde.fr/web/article)

 » La découverte  de vrais faux jumeaux ébranle certains acquis en matière de reproduction.

Un dogme de la physiologie de la reproduction humaine vient d’être brisé,  avec la découverte de jumeaux qui ne sont ni tout à fait « vrais » ni tout à fait « faux ». Signés de Mikhail Golubovsky (Duke University, Duham, Caroline du nord), Vivienne Souter ( Banner Good Samaritan Medical Center, Phoenix, Arizona) et David Bonthron (Université de Leeds, Royaume-Uni), les détails de cette découverte sont publiés dans les colonnes de la revue spécialisée Journal of Human Genetics. Ils ont été diffusés, lundi 26 mars, via le site d’informations de la revue Nature.

C’est à la suite de l’identification d’une anomalie sexuelle chez l’un des deux jumeaux que médecins et généticiens ont été conduits à découvrir qu’il existait, contrairement à ce que l’on observe chez les vrais jumeaux, des différences notables dans la constitution des patrimoines génétiques des deux enfants.Pour autant, ces patrimoines présentent des similitudes qui font que l’on ne peut pas non plus les considérer comme de faux jumeaux.

Les vrais jumeaux sont issus d’un ovocyte fécondé par un seul spermatozoïde et qui ensuite s’est naturellement dupliqué, tandis que les faux jumeaux correspondent à deux ovocytes fécondés séparément et simultanément par deux spermatozoïdes. Or les deux enfants qui font l’objet de la publication du Journal of Human Genetics ne correspondent à aucun de ces deux cas de figure.

CHIMERES

Ils sont tous deux dotés des mêmes gènes hérités de leur mère, via l’ovocyte dont ils sont issus.

En revanche, des différences existent quant aux gènes hérités de leur père. Pour Vivienne Souter, spécialiste de génétique, une seule hypothèse peut ici être envisagée: ces jumeaux « semi-identiques » sont issus de la fécondation simultanée d’un même ovocyte par deux spermatozoïdes, ayant la duplication de l’ovocyte doublement fécondé et le développement de deux embryons.

Aux yeux de leur mère, ces deux enfants étaient de vrais jumeaux ne présentant aucun trouble particulier. L’attention du corps médical a toutefois été attirée par l’existence, chez l’un d’entre eux, d’une forme d’hermaphrodisme, anomalie sexuelle caractérisée par la coexistence de tissus ovariens et testiculaires. Des analyses génétiques ont ensuite mis en lumière le fait que les deux enfants étaient des chimères, les cellules de leur organisme n’étant pas toutes constituées du même matériel génétique.

Cette découverte soulève de nombreuses questions et remet en cause un acquis tenu pour fondamental: l’impossibilité d’observer dans l’espèce humaine le phénomène de polyspermie, caractérisé par la fécondation d’un même ovocyte par plus d’un spermatozoïde. Dès qu’un spermatozoïde entreprend de pénétrer au sein de l’ovocyte, une série de modifications moléculaires surviennent, tant au niveau de la membrane ovocytaire que de la zone pellucide, cette structure qui entoure la cellule sexuelle féminine.

L’arrimage du spermatozoïde provoque notamment la libération d’une onde de dépolarisation rapide qui conduit, schématiquement, à un durcissement de la zone pellucide. Celle-ci devient ainsi un obstacle absolu à la pénétration d’autres spermatozoïdes et confère ensuite une protection à l’embryon, qui se développera durant quelques jours au seins de cet espace.

Après l’arrimage du spermatozoïde à l’ovule, les deux membranes fusionnent, avant que les deux patrimoines génétiques, le paternel et le maternel, s’associent. Les autres éléments du spermatozoïde, comme la flagelle et les mitochondries, qui pénètrent normalement dans l’ovocyte au moment de la fécondation, sont en suite éliminés.

Comment comprendre que les obstacles à la polyspermie puissent être contournés sans nuire au développement ultérieur des embryons et des foetus? Mikhail Golubovsky avait suggéré, en 2003, dans la revue Human Reproduction, qu’un tel scénario ne pouvait être formellement exclu.

« Il y a encore une série d’éléments qui ne sont pas éclaircis dans la génétique des jumeaux et de la géméllité, souligne aujourd’hui le biologiste. Nous devons conserver les yeux ouverts et nous attendre, dans ce domaine, à d’autres situations inhabituelles. »

Juste pour la petite histoire, en tant que Sophro-analyste, et pour l’intérêt que nous portons à la mémoire cellulaire, je me souviens que lors de l’une de nos supervisions avec le Dr Claude Imbert, il est arrivé une fois de « retrouver » à l’une d’entre nous cette mémoire de « double fécondation » que nous avions appelée à l’époque: « super-fécondation » à notre grand étonnement!

 

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Les apparences sont souvent trompeuses

 Cette semaine, j’ai envie de partager avec vous un moment de réflexion sur l’apparence.

En effet, les choses ne sont pas telles qu’elles semblent être. Les petites peuvent être de vraies grandes, et les grandes de vraies petites…

Paradoxe de la nature humaine: plus vous cherchez à vous faire valoir, à paraître grand, fort et puissant, plus vous semblez petit et impuissant. L’inverse est vrai aussi.

En fait le vrai pouvoir n’est pas là où on croit souvent qu’il est.

Mais où est-il, me demanderez vous?

– Je vous répondrai: dans la qualité de notre regard et de notre être…

Le vrai pouvoir vient de notre connexion avec notre espace de confiance et de puissance intérieure.Il s’exprime par la qualité de présence, d’écoute et de communication.

Pour atteindre cette communication, il nous suffit d’être « présent », et de regarder avec juste le regard « d’une caméra », c’est à dire, sans interprétation, sans jugement.

Penser et parler au « JE »: « je vois…, JE pense…, JE ressens…JE vérifie si ce que je vois et ce que je pense de ce que je vois est réel . Je pose des questions, je formule…

Je prends conscience et j’exprime mes besoins.

Je choisis d’être avec mes ressentis plutôt que contre ce que je perçois comme étant la cause.

En effet, ce qui est en moi me fait réagir, je ressens, je vois, j’accueille et je relâche.

Ainsi mes pensées et mes ressentis sont mes propres créations.

Ce que je vois est mon choix de voir: je peux toujours modifier mon regard.

Et puis puisque vous avez le choix, je vous propose de mettre en application cette forme de communication et de voir ce qui se passe: comment vous sentez-vous? Quel est votre nouveau regard?

N’hésitez pas à mettre des commentaires sur cet articles!

 
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