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Une info qui nous concerne tous

Une amie m’a fait parvenir ce document.

J’ai décidé de le partager avec vous.

Génétique : la découverte qui vous concerne

Jeudi dernier, le 6 septembre 2012, une série d’articles scientifiques de portée historique a été publiée dans les plus grandes revues scientifiques : Nature, Science, Genome Research, Genome Biology, Journal of Biological Chemistry.

Ce sont les conclusions d’un immense projet de recherche, financé par le gouvernement américain, impliquant 440 scientifiques de 32 laboratoires, qui a duré neuf ans : le projet ENCODE, Encyclopedia elements of the human genome, qui visait à décrire de façon complète les fonctions de chaque élément du génome humain.

Vous êtes concerné par les découvertes publiées. Mais comme il est difficile d’y comprendre quoi que ce soit en lisant la presse (et ne parlons pas de la télévision), voici de quoi y voir clair sur cette découverte « révolutionnaire » et ce que vous pouvez en attendre pour votre santé.

Bref rappel sur l’ADN
Lorsque vous avez été conçu, vous n’étiez qu’une seule cellule, issue de la rencontre d’un spermatozoïde et d’un ovule.

Mais cette cellule contenait un minuscule noyau. Dans ce noyau se trouvaient des filaments d’ADN, entortillés comme des pelotes, groupés en 46 chromosomes, eux-mêmes formant 23 paires. L’ADN de cette première cellule était hérité, pour moitié, du spermatozoïde de votre père, et pour l’autre moitié, de l’ovule de votre mère. Ce qui faisait de cette cellule une cellule neuve et totalement unique, avec un ADN unique.

Cette cellule unique s’est d’abord divisée en deux cellules filles, chacune contenant une copie de l’ADN de la première cellule. Ces deux cellules se sont divisées à leur tour pour produire quatre cellules à la 50ème heure, chacune avec sa propre copie de l’ADN de la première cellule. A la 60ème heure, il y avait huit cellules, chacune contenant toujours une copie de l’ADN de la première cellule.

A la division suivante, le futur bébé est constitué de 16 cellules. L’œuf a l’aspect d’une masse arrondie ressemblant à une mûre. Il migre alors vers l’utérus, où la division cellulaire va pouvoir commencer sérieusement. En effet, mieux vaut ne pas perdre de temps car, dans neuf mois, à la naissance, le petit devra compter… soixante-dix mille milliards de cellules ! Toutes issues de cette même première cellule.

Les cellules ne peuvent pas se contenter de se diviser, en produisant toujours des cellules identiques. Le résultat ne serait qu’un amas informe. Pour que le bébé ait toutes ses fonctions vitales, il faut que les cellules se différencient, et qu’elles jouent chacune leur rôle : former le squelette, les muscles, les organes vitaux…

Cela paraît compliqué et cela l’est en effet. Mais il se trouve que les filaments d’ADN qui sont dans les cellules contiennent toute l’information nécessaire pour diriger ce délicat processus.

L’ADN est comme une mémoire d’ordinateur
Sur les filaments d’ADN de la première cellule se trouve en effet toute l’information nécessaire pour piloter le développement de votre organisme, jusqu’à la fin de votre vie.

Cette information est contenue dans l’ADN sous une forme très proche de l’information gravée sur une mémoire d’ordinateur. L’ADN n’utilise pas un système d’information binaire mais un système quaternaire. Alors que les unités d’information dans un ordinateur sont le 0 et le 1, l’ADN est codé sous forme de T, A, C et G. Ces unités s’appellent des nucléotides.

Sur une mémoire informatique, vous avez une suite de 0 et de 1, par exemple, 10011101011000111. Sur le filaments d’ADN, c’est une succession de T, A, C, et G, par exemple AATGGCTTGGC. Mais au fond, cela revient au même.

Si vous deviez lire toute l’information stockée sur votre ADN, cela ferait un livre très indigeste avec des milliers de pages remplies de T, A, C et G, tout comme votre disque dur est rempli de 0 et de 1. Votre ADN contient en effet 3000 milliards de paires nucléotides. Ce livre a néanmoins été écrit, en 2003, par un groupe de chercheurs qui avaient passé 12 ans à décoder le génome humain.

De l’ADN à l’organisme humain
Toute l’information nécessaire à construire un organisme est contenue dans l’ADN de la première cellule.

Votre organisme contient plus de 200 types de cellules différentes, mais tout a commencé avec cette seule cellule.

L’ADN de cette seule cellule contenait toute l’information dans son code, composé uniquement de T, A, C et G, pour construire 70 000 à 100 000 milliards de cellules, de 200 types différents.

Certaines de ces cellules sont des cellules immunitaires, d’autres sont des cellules coniques qui sont dans votre œil pour voir, d’autres sont des cellules d’os, de muscle, de cerveau ou de moelle, d’autres encore sont des cellules du pancréas, des reins, d’ongle, de cœur, de sang, etc.

Mais l’information de l’ADN permet aussi, tandis que l’organisme grandit et se développe, de créer une dizaines de « systèmes » vitaux. On les appelle des « systèmes » parce qu’ils sont composés de deux organes ou plus, fonctionnant ensemble.

Par exemple, le système circulatoire comprend, entre autres, le cœur, le sang, et les vaisseaux sanguins. Le système digestif inclut, entre autres, la bouche, l’œsophage, l’estomac, les intestins.

L’information de l’ADN est aussi utilisée pour fabriquer plus de trente organes dans le corps humain.

Imaginez l’information nécessaire à créer vos os :

Votre corps contient 206 os. Chacun d’eux a une forme et des caractéristiques uniques : si vous vouliez en faire un dessin en trois dimensions sur ordinateur, vous auriez, inscrites sur votre disque dur, toutes les informations concernant la forme de cet os, d’une façon très similaire à la façon dont elles sont inscrites sur votre ADN.

Bien entendu, l’os n’est pas seulement défini par sa forme : votre ADN spécifie aussi l’itinéraire de tous les nerfs qui courent dans vos os ; il détermine la place de la moelle osseuse ; il fixe la place de chacune des cellules de cette moelle et son fonctionnement. Tout cela est écrit dans l’ADN de votre première cellule.

Et nous avons à peine effleuré la surface de ce que fait l’ADN : il faudrait lire des bibliothèques entières d’anatomie humaine et de physiologie pour décrire toutes les fonctions connues de l’être humain, et chacune d’entre elles est codée dans l’ADN du minuscule noyau de votre première cellule.

Les promesses de la génétique
Lorsque les chercheurs se sont aperçus du caractère universel des effets de l’ADN, ils ont tout de suite imaginé la chose suivante : puisque l’ADN détermine tout, il suffit, pour modifier le fonctionnement du corps, de modifier l’ADN de la personne.

En particulier, quand on observe un problème de fonctionnement quelque part, donc une maladie, il devrait être possible de le corriger en changeant l’ADN !

Il n’en fallut pas plus pour que le monde entier se mettent à rêver d’un avenir radieux où l’être humain pourrait se contrôler lui-même en changeant son ADN comme on change les pièces d’une voiture. On inventa le terme de « thérapies géniques » comme s’il s’agissait d’une réalité alors qu’aucune thérapie génique n’existait, et on promit à la fois :

•la fin des maladies ;
•le remplacement de n’importe quel organe, que l’on pourrait faire pousser en laboratoire ;
•l’éternelle jeunesse.
Ce n’était qu’une question de temps, et bien sûr de sous accordés à la recherche… et aux chercheurs. « Donnez-nous quelques milliards aujourd’hui, et demain nous vous apporterons le philtre de l’immortalité », promirent-ils, en quelque sorte.

Le virus qui guérit
La chose paraissait d’autant plus à portée de la main que des chercheurs avaient trouvé un moyen remarquable de modifier l’ADN d’un très grand nombre de cellules. En effet, le problème de la thérapie génique n’est pas seulement de déterminer quel bout d’ADN pose problème dans votre code génétique. Encore faut-il être capable d’aller modifier effectivement votre ADN dans des milliards de cellules, dont la plupart se trouvent à l’intérieur de votre corps !

Eh bien la solution fut néanmoins trouvée. La lumineuse idée de ces chercheurs fut d’utiliser un virus.

Les virus sont de petits agents infectieux capables de transférer leur propre matériel génétique dans les cellules humaines. De plus, ils sont capables de se propager très rapidement d’une cellule à l’autre, comme le savent toutes les personnes qui ont été mises à genou, puis au lit, par le virus de la grippe, par exemple.

Les chercheurs réussirent à sélectionner un virus, à éliminer dans son ADN les séquences associées à la maladie qu’il transmettait, et à les remplacer par les séquences du gène thérapeutique (le gène qui guérit). Ainsi, en inoculant le virus à la personne malade, ce virus allait rapidement « infecter » des millions de cellules mais, au lieu de leur inoculer une maladie, il allait leur donner le bon gène qui allait leur permettre de guérir ! La seule précaution à prendre était évidemment que le virus reste dans l’organisme de la personne traitée, et qu’il ne lui prenne pas la mauvaise idée d’aller contaminer des milliers de personnes n’ayant rien demandé. Mais, apparemment, ce danger-là était, lui aussi, maîtrisé par les scientifiques.

Avec de telles promesses, ils n’eurent pas de mal à convaincre les gouvernements et un grand nombre d’investisseurs privés, de leur verser des dizaines de milliards d’euros pour des recherche en thérapies géniques, faisant la fortune d’innombrables créateurs de « start-up » de « biotechnologie » dans la Silicon Valley et de laboratoires universitaires.

Déconvenues
Malheureusement, plus les chercheurs progressèrent dans la recherche sur l’ADN, plus ils s’aperçurent que tout cela était en fait… effroyablement compliqué.

Ils se mirent à investir dans des systèmes de plus en plus chers, notamment des supercalculateurs, mais chaque nouvelle découverte rendait le problème encore plus obscur.

En effet, alors qu’on imaginait au départ que l’information de l’ADN pouvait se lire par sections, sur des gènes correspondant à une protéine particulière, et qu’il suffisait de remplacer un gène défectueux par un autre, on s’est vite aperçu que, en réalité :

•l’ADN n’était pas une simple « double hélice », mais pouvait prendre toutes sortes de formes variées (les formes B, A, Z, G…), beaucoup plus compliquées ;
•la plupart des informations liées à des maladies ne se trouvaient pas sur les parties d’ADN codant des gènes, mais sur les sections intermédiaires, dont on pensait pourtant qu’elles ne servaient à rien ;
•que les gènes, déterminant la fabrication des protéines, étaient tantôt actifs, tantôt inactifs, sans qu’on sache pourquoi (entre deux personnes porteuses du même gène d’une maladie, l’une peut être gravement malade, l’autre se porter comme un charme) ;
•que les gènes interagissaient entre eux d’une façon si embrouillée qu’il est la plupart du temps impossible de retracer le rapport entre un gène et un trait particulier de la personne (ainsi par exemple, contrairement à ce que des millions d’écoliers ont appris, il se peut parfaitement que deux parents aux yeux bleus donnent naissance à un enfant aux yeux marrons).
Aujourd’hui, la totalité des thérapies géniques ont conduit à l’échec, et ce n’est pas faute d’avoir essayé.

Une lumière d’espoir s’est allumée, en 1998-99, lorsqu’on parvint à traiter de très jeunes enfants atteints du SCID-X et souffrant d’une immunodéficience sévère (des « bébé bulles »). Mais elle s’est rapidement éteinte, dans des circonstances dramatiques.

Ces enfants ont reçu un traitement de thérapie génique visant à rendre actifs leurs lymphocytes T déficients (des cellules immunitaires). La thérapie a consisté à transférer dans les cellules sanguines de ces bébés un gène restaurant la fonctionnalité du récepteur à l’interleukine-2. Dans un premier temps, l’entreprise s’est révélée être une réussite totale. La plupart des bébés ont pu sortir de leurs bulles et vivre normalement. Cependant, sur la vingtaine d’enfants traités, quatre ont rapidement développé une leucémie mortelle, dont on a pu montrer qu’elle était un effet secondaire direct imputable à la « thérapie » génique elle-même.

En voulant corriger un problème sur l’ADN, on avait déclenché une maladie plus grave encore.

Le résultat de ces expériences a néanmoins abouti à une conclusion certaine : que le mystère de l’ADN n’a pas encore été percé, et n’est pas prêt de l’être. Ce qui m’amène à la fameuse découverte publiée jeudi dernier :

La grande nouveauté d’ENCODE
On imaginait jusqu’à présent que seule une petite partie de l’ADN humain servait à coder des gènes, et contenait donc des informations utiles pour le développement de l’organisme. Or, ce nouveau projet de recherche, ENCODE, a découvert qu’une très grande partie de l’ADN considéré comme inutile sert en fait à réguler l’action des gènes. Certains chercheurs parlent de 80 % de l’ADN qui serait porteur d’information, alors qu’on pensait jusqu’à présent que ce n’était que 1 à 3 %.

En particulier, des parties de l’ADN très distantes d’un gène se retrouvent tout près lorsque l’ADN est roulée en pelote, et servent d’interrupteur pour le mettre en route ou l’arrêter.

Cette fonction est évidemment aussi essentielle que le gène lui-même. Et le problème, c’est que, tenez-vous bien, les chercheurs ont recensé pas moins de… quatre millions d’interrupteurs sur l’ADN humain, alors qu’il ne contient que 20 000 gènes.

Autrement dit, l’incroyable complexité de la génétique vient d’être multipliée à nouveau par un facteur 200 (au minimum).

Pour faire bonne figure, les chercheurs en génétique annoncent que tout cela est formidable, que le projet ENCODE leur a apporté des tonnes de nouvelles informations pour mieux comprendre les maladies.

Mais leurs capacités d’analyse sont en fait très rudement mises à l’épreuve : des moyens supplémentaires encore plus considérables sont nécessaires pour voir clair dans ce fatras d’informations de plus en plus complexes, sans aucune garantie que cela débouche sur des thérapies réelles.

Les chercheurs en sont conscients, et peut-être est-ce une explication du fait que l’annonce de cette découverte ait été menée avec des investissements en communication dignes d’un film hollywoodien, certains étant surtout préoccupés de toucher l’opinion publique (qui n’y comprend rien), gage du fait que les hommes politiques (qui y comprennent encore moins) leur attribuent de nouveaux crédits de recherche.

La conclusion pour vous
La conclusion pour vous, ami lecteur, est néanmoins extrêmement importante :

Cette découverte de l’étude ENCODE indique que le mystère de l’ADN est encore très loin d’être percé. Mais cela ramène au premier plan de la recherche médicale moderne : la question du mode de vie.

En effet, la découvert d’ENCODE prouve que vous aviez raison de vous préoccuper de ce que vous mangez, de vos émotions, de votre environnement, des bruits, des vibrations, des ondes qui vous traversent, de votre activité physique.

En effet, votre ADN n’est pas un « simple » brin sur lesquels se trouvent des gènes qui décideraient pour vous ce que vous êtes, ce que vous devenez, vos maladies, et vous enfermeraient dans une sorte de prison génétique sur laquelle vous n’avez aucune prise.

Le fait que le gène lui-même soit contrôlé par tant de facteurs externes, sur le brin d’ADN lui-même, prouve que c’est bel et bien vous qui êtes dans le fauteuil du pilote, en ce qui concerne votre santé.

Car chacun des choix que vous faites au quotidien est susceptible d’influer de façon décisive sur cette délicate technologie que sont ces millions d’interrupteurs sur votre ADN, dont la complexité outrepassera peut-être toujours les capacités d’entendement de l’être humain.

Si on ne peut pas, avant très longtemps, espérer intervenir sans risque dans les infimes détails de cette mécanique, cela veut dire qu’il faut plus que jamais vous concentrer maintenant sur les règles générales d’une bonne santé, d’une bonne vie.

L’observation, l’expérience de milliers d’années a déjà permis à l’humanité de tirer de grandes règles sur ce qui est bon, ou mauvais, pour l’organisme, sur les habitudes qui risquent le plus de déclencher une maladie, et sur le mode de vie protecteur.

Nous allons continuer à progresser dans ce domaine.

Ces dernières années, la macro et la micro-nutrition ont fait des progrès considérables. On sait que de mauvais conseils nutritionnels (comme ceux qui sont aujourd’hui diffusés par mangerbouger.fr) aggravent le risque de tomber malade.

Alors plus que jamais, réjouissons-nous : les nouveaux progrès des « super-nouvelles-technologies biomédicales » nous confirment que c’est bien la voie de la santé naturelle et du bon sens qui restent, pour quelques dizaines ou centaines d’années encore, le chemin le plus direct vers une vie meilleure et en meilleure santé.

Vous avez maintenant la preuve qu’oublier toute cette sagesse en se disant que, bientôt, les nouvelles thérapies nous guériront de tout, n’a été qu’un rêve passager de scientifiques un peu trop enthousiastes. Et c’est bien ce que vous aviez toujours pensé et pratiqué, n’est-ce pas ?

A votre santé !

Jean-Marc Dupuis

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Les travaux commencent…

DSCN8078.JPGLes dernières mirabelles du jardin, sucrées, un véritable régal!

 

Aujourd’hui commencent les travaux du cabinet à Velleron.

je suis dans ma pièce préférée de la maison, et de là où je suis, je vois les avancées des travaux: ce que ça va vite! (surtout quand les personnes qui le font sont des professionnels et ont le bon matériel !).

 

Je vous montre quelques photos prises juste avant que les travaux ne débutent:

 

DSCN8079.JPG L’atelier ,tel qu’il était l’extérieur et l’intérieur…

 

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La baguette magique est en train d’opérer. Rendez-vous dans quelques jours pour voir le résultat final…

 

En attendant, je vous envoie plein de pensées ensoleillées

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Ma recette de fleurs de courgettes

 

 

 

 

 

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Que du bonheur!

 

L’autre soir en faisant mes courses au marché agricole, il y avait un petit paysan avec un étale de belles fleurs de courgettes.

leur couleur soleil a  attiré mon attention, et ça tombait bien, j’avais des invités le soir même.

 

Ah, pour moi, ça sent bon la provence et le soleil ces petites fleurs fragiles à manipuler.

 

J’ai donc commencé par retirer leur pistile et à les passer délicatement sous l’eau; je les ai posées délicatement sur un papier absorbant,le temps de préparer la pâte à beignets.

Mon conseil, pour la rendre plus légère, faites comme moi, ajoutez de l’eau gazeuse glacée dans laquelle j’ai mis un bouchon d’eau florale de menthe verte et une feuille de basilic frais et battez bien en neige les blancs d’oeufs que vous incorporerez à la pâte.

 

Ensuite, j’ai mis dans une poêle de l’huile d’olive, tremper mes fleurs dans la pâte à beignets, les ai fait frire joliment , reposeés sur une feuille de papier absorbant, et vite servies sur de jolies assiettes blanches.

 

Vous savez quoi? nous nous sommes régalés!

 

Essayez et racontez moi ou donnez moi d’autres idées

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Sunjaï

 

« Sunjaï »…Ca veut dire quoi?

C’est le nom que nous avons choisi pour notre maison du Sud.

En fait, nous avons vu un film (Indian palace), très beau film que je vous recommande!

Dans ce film, un personnage s’appelait « Sanjaï », et moi j’ai entendu « Sunjaï »! Cela a fait « Tilt » dans ma tête, car dans ce nom il y avait le mot « soleil » et « jaï », résonnait comme la « joie ». Et puis quelques jours après que nous ayons décidé de garder ce nom, mon chéri a rencontré une amie chinoise qui était stupéfaite du choix que nous avions fait car en chinois « Jaï » signifie: « la belle demeure »! Wahou!, rien que ça! alors du coup c’est la belle demeure au soleil!

Quand je vous disais qu’il fallait prendre soins de nos rêves; moi c’était un rêve depuis que je suis toute petite: avoir une maison au soleil!

Elle nous a ouvert ses portes au mois de février, et nous commençons à l’habiter.

j’ai l’impression d’y avoir toujours vécu.

Je savoure chaque instant, la vie y est douce.

J’ai trouvé la partie de la maison où je vais me faire un bureau pour pouvoir aussi venir travailler ici, car j’ai bien l’intention d’y être souvent.

Il y a quelques travaux à faire, mais je sens que ça va être bien!

Je pense que je vais me partager entre Paris et la région. Ce que je fais déjà , puisque je descends régulièrement donner des cours d’aromatologie.

Mais là, je compte aussi faire des consultations de Sophro-analyse.

Vous voyez, je ne manque pas de projets!

Pour l’instant, je me mets un peu au vert, pour recharger mes batteries qui ont quelque peu souffert ces derniers temps…

J’avais envie de partager ce moment de bonheur intense avec vous tous et vous envoyer plein de soleil, car je sais que dans le nord, vous n’êtes pas trop gâtés.

 

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Ce qui demeure

Fabienne Marsaudan est une artiste dont je vous avais déjà parlé.
Les paroles de ses chansons me touchent.
Voici un extrait de son nouvel album: « Ce qui demeure »

Si vous souhaitez vous le procurer voici les ccordonnées:

Prix : 20

port inclus

(18

€ + 2€

de frais d’expédition).

Règlement par chèque à l’ordre de l’Association Chants Libres

à envoyer à l’adresse suivante :

11 Cité Ker Hent Coz 56690 NOSTANG

Tel : 02 97 02 17 13 Adresse Mail : courrier@fabienne-marsaudon.com

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Bon de Commande

Je souhaite … exemplaire(s) de l’album « Ce qui demeure »

Ci-joint un chèque de ………€. (…X 18€ + ….€ =……€)

Calcul frais d’expédition au delà d’un exemplaire : ajouter au prix unitaire 1€ par cd

commandé. Exemple 3Cd= 3X18€ +3€ Soit 57€

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« Il y a ce qui passe, et puis ce qui demeure,

Il y a ce qui s’efface, ce qui jamais ne meurt… »

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La Provence à mon goût!

Bonjour à tous et à toutes,

je n’ai pas eu vraiment beaucoup de temps pour vous concocter de jolis articles.

Cependant, j’oeuvre pour ceux qui habitent le sud, plus précisément, la Provence, le Lubéron… Enfin quoi! ce coin là!!

Et! oui, mon rêve se réalise.

Un coup de coeur (pour une maison!),en février, et, hop! nous voilà en train de déménager partiellement quelques affaires!!!

Inutile de vous dire que depuis une semaine, nous vivons une vie de vrais déménageurs avec mon chéri.

J’ai eu un mal de chien à la quitter hier pour revenir ici, mais bon, j’y retourne très vite.

La bonne nouvelle, c’est que j’ai trouvé l’endroit où je pourrai installer mon espace professionel, car, si je ne vous l’ai pas déjà susurrer à l’oreille, mon rêve serait de travailler un mois sur deux là-bas.

 Mais d’abord, il va falloir que je fasse quelques travaux pour le rendre vivable, confortable et douillet comme je sais le faire!

Et dès que ce sera fait, je vous tiens au courant.

Comme vous pouvez l’imaginer, j’ai quelques beaux projets à venir qui vont occuper mon bel été.

Mais soyez rassurés, je ne vous oublie pas, j’ai juste besoin d’un peu de temps pour m’organiser.

Et puis, je veux garder la valeur de ce blog, éviter de faire du remplissage sous prétexte d’y écrire quelque chose à tout prix.

Ce ne sont pas les thèmes qui manquent, juste un peu de temps pour la mise en forme (sous toutes ses formes!!! (lol))

Alors pour vous faire patienter je vous envoie plein de soleil et de senteurs de provence, ainsi que des couleurs (en ce moment, il y a des champs pleins de coquelicots, et les lavandes commencent à donner leur plus belles robes), et dans mon jardin, là-bas comme ici, il y a des roses odorantes qui parent le paysage et embaument de leur plus suave parfum… (hmmmmmmm!!!!!)

 

photo.JPG Le rosier au fond, près de la piscine sent délicieusement bon! et les petits que vous voyez là en premier plan aussi!!!

 

A très vite!coeur.gif

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Happy birthday!

Merci à tous ceux et celles qui ont pensé à moi avec ces si jolies vidéos pétillantes!

Ce matin en ouvrant mes mails, j’ai reçu un joli billet de « Matin Magic » , et c’est amusant cette synchronicité, mais cette nuit ,moi aussi je me suis réveillée toute excitée à l’idée de ce nouveau jour et comme Marie Pier, je me suis demandé vers où j’avais envie d’aller cette année et toutes les années à venir.

Alors volià ce que je me suis dit:

« Je fais donc un voeux avant de souffler mes…57 bougies!

Je décide d’aller vers tout ce qui me fera du bien, de passer du temps avec tous ceux que j’aime, envie d’aller vers un avenir que j’ai envie de modeler en fonction des pensées que j’ai envie de cultiver. Envie d’aller vers la légèreté, la joie, la chaleur humaine, vers ce qu’il y a de plus lumineux dans chaque situation que je traverserai. Et de continuer à faire ce magnifique métier qui est le miens avec tout mon enthousiasme et tout mon coeur. »

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L’université des Va-nu-pieds

Au Rajasthan, en Inde, une école forme des personnes d’origine rurale pour devenir ingénieurs en énergie solaire, artisans, dentistes ou docteurs dans leur propre villages. Elle s’appelle l’Université des Va-nu-pieds, et son fondateur, Bunker Roy, nous explique comment elle fonctionne

A regarder, je pense qu’il y a des choses à faire…

Si je le peux, j’ai vu qu’il y en avait une dans le Kérala, là où je vais aller en Inde, j’espère pouvoir leur rendre visite.

Voici le lien pour regarder la vidéo

http://www.ted.com/talks/lang/fr/bunker_roy.html

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