Archives de catégorie : Sophrologie

Version romantique

« J’adorrrre » cette version romantique! Imaginer que je suis issus de ce petit spermatozoïde arrivant avec une brassée de roses aux portes de l’ovule…

Cette histoire fleurait bon déjà  !

Une façon de retrouver le sourire, et de me dire  que j’ai bien de la chance d’exister.

Si parfois, il vous arrive d’avoir des doutes concernant votre existence et votre conception, je vous invite à venir regarder cette version: je suis presque sûre, qu’elle vous redonnera le sourire!

Allez, bonne journée à vous tous.coeur.gif 

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La boîte à voeux

 

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En ce moment, je suis complètement dans cet esprit de la « boîte à voeux »!

Mais qu’est-ce que c’est donc, que cett boîte à voeux??

Je vous explique:

il y a des choses qui vous tiennent à coeur, que vous avez envie de voir se réaliser. Alors ,c’est très simple:

– prenez une feuille de papier, un stylo, (enfin de quoi écrire!), installez-vous bien confortablement, respirez tranquillement et laissez venir à vous ce souhait. Quand vous êtes prêt(e), commencez à l’écrire, en étant très très précis(e) sur votre demande, et surtout, formulez-le positivement;

je vous montre:

-je ne veux plus rencontrer de gens radins. » ( Ca, non, car l’Univers va vous en envoyer en pagaille!)

Mais écrivez, formulez le ainsi:

« je veux rencontrer des gens généreux avec moi et en général »…

Bref, soyez très, très précis dans votre demande.

Et puis aussi, mettez-vous à l’écoute de comment ça se passe à l’intérieur de vous ,quand vous le formuler ainsi? Vous verrez, votre énergie n’estpas la même.Du coup vous allez déployer une jolie énergie afin  de rencontrer ces personnes généreuses. Mais précisez aussi, en quoi voulez-vous qu’elles soient généreuses!… Car elles peuvent aussi être très généreuse en radinerie!!!!! d’où la précision de votre demande.

Et puis, vous mettez ce petit mot ,daté, dans une jolie boîte de votre choix, ou sur votre coeur. Et vous l’offrez à l’univers.

Vous pouvez aussi ,y revenir et y rajouter d’autres choses, le relire…

Vous verrez, c’est fou, ce qui se passe, et surtout ce que vous en faites pour que ça arrive!

 

Dites, vous me raconterez? Une jolie façon, de partager avec d’autres ces belles réalisations.

 

(Eh, pssssit!, n’oubliez pas quand même que vous êtes l’auteur de votre vie, donc, ne restez pas seulement assis(e) devant votre boîte en attendant que ça arrive!!!

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Ce que je fuis, me poursuis, rencontre avec ma part d’ombre

« Lorsque l’effort est nécessaire, il se déploie.
Lorsque le non-effort devient essentiel, il s’impose de lui-même.
Vous n’avez pas besoin de pousser sur la vie.
Coulez avec elle et donnez-vous totalement à la tâche du moment présent. »

Nisargadatta Maharaj

Aujourd’hui, j’ai reçu un billet du blog « Réussir sa vie », de mon amie Dominique.

Le titre du billet:

 » ce que l’on fuit »… Vous pouvez allez le lire sur:

http://www.reussirsavie.org/

Un joli sourire s’est dessiné sur mes lèvres, un petit pincement au creux de l’estomac s’est fait ressentir…

En plein dans le mille! Ce billet arrive à point!

Cela fait quelques temps déjà, que je me débats avec une situation et une relation professionnelle qui ne me convient plus telle qu’elle se présente aujourd’hui.

Il y a deux jour, j’ai décidé d’écrire, d’abord pour moi, afin que ma demande devienne le plus clair possible, tout ce que je voulais à partir de maintenant et( non pas ce que je ne voulais plus!).

Cela m’a amenée à rédiger « un règlement contractuel », entre moi et les personnes avec qui je travaille.

Pour l’instant, je le laisse reposer un peu afin de l’affiner.

En fait, je me sens encore un peu « fragile » quant à sa forme, et moi aussi, comme Dominique, je vais regarder ce qui se passe vraiment à l’intérieur. Je vais rencontrer mon « Jiminy Cricket » comme j’aime l’appeler!

Voilà ce qu’il me dit:

« j’ai peur. de fermer complètement la porte, non en fait ,j’ai peur que l’autre interprète mal ce que je lui dit et qu’il ferme la porte »!

« j’ai peur de tout perdre »…

Mon moi observateur bienveillant:OK, OK,OK!

 » j’ai peur de faire exploser ma colère, j’ai peur de devenir trop rigide.

Ce que je fais en ce moment ne me convient pas, ne me ressemble pas, je ne me sens plus « maître à bord »…

Mon moi observateur bienveillant: Excellent!

C’est exactement ça, tu ne te sens plus maître à bord, parce que tu donnes tout le pouvoir à l’autre, parce que ton « Jiminy Cricket » croit, qu’il ne peut pas faire autrement, parce qu’il se rend « dépendant » et qu’il n’ose pas affirmer ses besoins pour ne pas déranger l’autre.

Que risque t’il de se passer, si tu continue à donner du pouvoir à cette partie de toi-même qui te raconte cette histoire? il a quel âge Jimini, quand il te raconte ça?….

Bon, je ne vais pas continuer en ligne, mais en privé si ça ne vous dérange pas!

En fait, j’ai besoin de réintégrer cette partie de moi, un peu plus « Parent normatif », celui qui me fait si peur, qui me terrorise quand je pense à lui (mon histoire …) car j’en ai aussi besoin, pour poser un cadre, ce cadre je peux aussi le poser avec bienveillance, mais surtout ne pas renier cette face qui fait aussi partie de moi.

Trouver un équilibre, et surtout ,surtout, me dire et sentir, que je n’ai rien à perdre, mais TOUT A GAGNER!

Voilà, c’était une petite confession, pour vous encourager, vous aussi à vous poser les bonnes questions et à aller dialoguer avec votre « Jiminy Cricket » qui de temps en temps reprend les commandes de votre vie, alors que vous pouvez très bien le faire vous-même ici et maintenant!

Voici une méditation que je vous propose pour rencontrer votre guide intérieur:

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« Lettre à ma fille »

 

Ce matin j’ai été touchée par cette lettre d’une inconnue, traduite par Laëtitia Ludivine sur Epanews.

Cette lettre je pourrais avoir envie de l’écrire à mes enfants.

La voici:

« Ma fille,

Le jour où tu trouveras que j’ai vieilli,
aie de la patience envers moi
et essaie surtout de comprendre ce que je traverse, de me comprendre.

Si lorsque nous parlons, je répète la même chose des dizaines de fois, ne m’interromps pas pour me dire: « Tu as dit la même chose il y a une minute ». Écoute-moi s’il te plaît.
Souviens-toi quand tu étais petite, tu voulais que je te lise la même histoire, soir après soir, jusqu’à ce que tu t’endormes.

Si je ne souhaite pas prendre un bain, ne te mets pas en colère et ne me mets pas mal à l’aise en disant que c’est une honte.
Souviens-toi combien de raisons je devais inventer pour te faire prendre un bain quand tu étais petite.

En voyant mon ignorance vis-à-vis des nouvelles technologies, ne te moque pas de moi, mais laisse-moi plutôt le temps d’assimiler tout ça et de comprendre.

Je t’ai appris tant de choses: comment te tenir à table, t’habiller, te coiffer, comment appréhender les défis de la vie…

Le jour où tu trouveras que j’ai vieilli,
aie de la patience envers moi
et essaie surtout de comprendre ce que je traverse, de me comprendre.

S’il m’arrive à l’occasion d’oublier ou de ne pouvoir suivre une conversation, laisse-moi le temps nécessaire pour me souvenir et si je n’y parviens pas, ne te montre pas irritée, impatiente ou condescendante: le plus important pour moi, c’est d’être avec toi, de partager des moments avec toi.

Quand mes jambes ne me permettront plus de me déplacer comme auparavant, tends-moi la main comme je te l’ai tendue pour t’apprendre à faire tes premiers pas.

Quand ces jours approcheront, ne sois pas triste. Sois tout simplement avec moi et comprends-moi alors que je m’approche de la fin de ma vie, avec amour et gratitude.

Je te chéris et te remercie pour les moments passés ensemble et la joie éprouvée.

Avec un sourire et tout l’amour que je ressens pour toi, je souhaite juste te dire ma fille : je t’aime.


Auteur inconnu

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Poser un nouveau regard sur soi

 

Je me rends compte souvent que les personnes qui viennent dans mon cabinet pour régler leur mal-être, me parlent souvent « des autres »,

responsables de leur état…

Dès que je leur propose de porter un regard sur elles-mêmes, et ainsi de les amener à prendre conscience de leur participation à la relation…Pfutttt!, elles font tout pour éviter d’y aller!! et repartent sur l’histoire qu’elles se racontent depuis longtemps, qu’elles connaissent par coeur et dont, d’une certaine manière,elles essaient de se convaincre qu’elles sont des victimes.

Je sais que cette partie du travail, peut-être difficile à inspecter, mais comment, ces personnes peuvent-elles s’imaginer transformer leur état, si elles n’acceptent pas aussi cette part d’ombre qui les habite??

Aussi désagréable, et aussi déstabilisante qu’elle soit, elle a sa raison d’être.

Juste pour info: si l’ombre existe, c’est qu’il y a de la lumière aussi!!

Regardez le soleil: il brille, donne de la lumière, mais il fait aussi de l’ombre!

Bon, juste pour vous encourager à OSER porter un regard différent sur vous; ce regard, cette prise de conscience peut TOUT changer en l’espace de quelques secondes parfois.

Il vous permettra d’avoir plus d’indulgence envers vous même et envers les autres.

Je ne suis pas en train de vous dire que tout est acceptable, mais tout a une raison qui appartient à chacun en fonction de ses croyances.

Elle n’est ni juste ni injuste, elle n’a de valeur que celle qu’on veut bien lui donner et qui a sa raison d’être à cet instant là.

Il n’est pas question de subir, mais de se responsabiliser dans ses choix, et de prendre du recul dans une situation donnée, afin de se sentir libre d’exister et de se libérer des chaînes que nous nous sommes parfois mises nous-mêmes!

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A tous ceux qui doutent encore…

Ah que j’aime cet homme! Enfin une réflexion sur l’intelligence qui mérite d’être entendue par un grand nombre d’entre nous!

Je me souviens d’un professeur d’histoire/géo en classe de 1ere qui m’a dit un jour:

« Mais ma chère, avec l’intelligence que vous avez, vous êtes juste bonne à épouser un bon mari! vous n’irez pas plus loin. Vous n’avez aucun dons! »
J’ai failli la croire! j’étais complètement désespérée, je me sentais nulle, bonne à rien et mes jolis rêves s’évaporaient…
Et puis, une petite voix à l’intérieur, et de jolies rencontres sur mon chemin de vie, m’ont démontré le contraire.
j’ai appris à poser des questions quand je ne comprenais pas, sans avoir honte de ma question. J’ai osé commencer des études plus tard, alors que jamais je n’aurais imaginé pouvoir le faire si j’étais restée sur cette maudite prédiction d’une femme qui ne me connaissait pas et qui sûrement avait des comptes à régler!

Et aujourd’hui, je suis là avec vous, et je me fais un plaisir de partager avec vous cet interview de Monsieur Albert Jacquard sur l’intelligence.

Alors, à vous tous: HAUT LES COEURS et ne prenez pas pour argent comptant tout ce qu’on vous dit!

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Miroir de l’âme

Voici un conte qui me semble fort intéressant pour méditer.

Vous pouvez aussi le retrouver sur le site épagnews.

  • Le génie menteur ou les 7 miroirs de l’âme

Il y avait une fois un jeune prince qui trouvait les gens autour de lui méchants et égoïstes. Il en parla un jour à son précepteur qui était un homme sage et avisé et qui confia une bague au prince…

– “Cette bague est magique. Si tu la tournes trois fois sur elle-même, un génie t’apparaîtra. Toi seul le verras. Chaque fois que tu seras insatisfait des gens, appelle-le. Il te conseillera. Mais fais attention : ce génie ne dit la vérité que si on ne le croit pas. Il cherchera sans cesse à te tromper.”

Un jour, le prince entra dans une violente colère contre un dignitaire de la cour qui avait agi contre ses intérêts. Il fit tourner trois fois la bague. Aussitôt, le génie apparut:
– “Donne-moi ton avis sur les agissements de cet homme, dit le prince.”
– “S’il a fait quelque chose contre toi, il est indigne de te servir. Tu dois l’écarter ou le soumettre.” À ce moment, le prince se souvint des paroles étranges de son précepteur.
– “Je doute que tu me dises la vérité”, dit le prince.
– “Tu as raison”, dit le génie, “je cherchais à te tromper. Tu peux bien sûr asservir cet homme, mais tu peux aussi profiter de ce désaccord pour apprendre à négocier, à traiter avec lui et trouver des solutions qui vous satisfassent tous deux.”

Parcourant un jour la ville avec quelques compagnons, le prince vit une immense foule entourer un prédicateur populaire. Il écouta un instant le prêche de cet homme et fut profondément choqué par des paroles qui contrastaient violemment avec ses propres convictions. Il appela le génie.

– “Que dois-je faire ?”
– “Fais-le taire ou rends-le inoffensif”, dit le génie. “Cet homme défend des idées subversives. Il est dangereux pour toi et pour tes sujets.” Cela me paraît juste, pensa le prince. Mais il mit néanmoins en doute ce que le génie avait dit.
-”Tu as raison”, dit le génie, “je mentais. Tu peux neutraliser cet homme. Mais tu peux aussi examiner ses croyances, remettre en cause tes propres certitudes et t’enrichir de vos différences.”

Pour l’anniversaire du prince, le roi fit donner un grand bal où furent conviés rois, reines, princes et princesses. Le prince s’éprit d’une belle princesse qu’il ne quitta plus des yeux et qu’il invita maintes fois à danser sans jamais oser lui déclarer sa flamme. Un autre prince invita à son tour la princesse. Notre prince sentit monter en lui une jalousie profonde. Il appela alors son génie.

– “Que dois-je faire, selon toi ? “
– “C’est une crapule”, répondit le génie. “Il veut te la prendre. Provoque-le en duel et tue-le. ” Sachant que son génie le trompait toujours, le prince ne le crut pas.
– “Tu as raison”, dit le génie, “je cherchais à te tromper. Ce n’est pas cet homme que tu ne supportes pas, ce sont les démons de tes propres peurs qui se sont éveillés quand tu as vu ce prince danser avec la princesse. Tu as peur d’être délaissé, abandonné, rejeté. Tu as peur de ne pas être à la hauteur. Ce qui se réveille en toi dans ces moments pénibles te révèle quelque chose sur toi-même. “

À l’occasion de la réunion du grand conseil du royaume, un jeune noble téméraire critiqua à plusieurs reprises le prince et lui reprocha sa façon de gérer certaines affaires du royaume. Le prince resta cloué sur place face à de telles attaques et ne sut que répondre. L’autre continua de plus belle et à nouveau le prince se tut, la rage au cœur. Il fit venir le génie et l’interrogea.

– “Ôte-lui ses titres de noblesse et dépouille-le de ses terres”, répondit le génie. “Cet homme cherche à te rabaisser devant les conseillers royaux.”
– “Tu as raison”, dit le prince. Mais il se ravisa et se souvint que le génie mentait.
– “Dis-moi la vérité” continua le prince.
– “Je vais te la dire”, rétorqua le génie, “même si cela ne te plaît pas. Ce ne sont pas les attaques de cet homme qui t’ont déplu, mais l’impuissance dans laquelle tu t’es retrouvé et ton incapacité à te défendre.”

Un jour, dans une auberge, le prince vit un homme se mettre dans une colère terrible et briser tables et chaises. Il voulut punir cet homme. Mais il demanda d’abord conseil au génie.

– “Punis-le”, dit le génie. “Cet homme est violent et dangereux.”
– “Tu me trompes encore”, dit le prince.
– “C’est vrai. Cet homme a mal agi. Mais si tu ne supportes pas sa colère, c’est avant tout parce que tu es toi-même colérique et que tu n’aimes pas te mettre dans cet état. Cet homme est ton miroir.”

Une autre fois, le prince vit un marchand qui voulait fouetter un jeune garçon qui lui avait volé un fruit. Le prince avait vu filer le vrai voleur. Il arracha le fouet des mains du marchand et était sur le point de le battre lorsqu’il se ravisa.

– “Que m’arrive-t-il”, dit-il au génie. “Pourquoi cette scène m’a-t-elle mis dans cet état ?”
– “Cet homme mérite le fouet pour ce qu’il a fait”, répondit le génie.
– “Me dis-tu la vérité ?”
– “Non”, dit le génie. “Tu as réagi si fortement parce que l’injustice subie par ce garçon t’a rappelé une injustice semblable subie autrefois. Cela a réveillé en toi une vieille blessure.”

Alors le prince réfléchit à tout ce que le génie lui avait dit.

– “Si j’ai bien compris”, dit-il au génie, “personne ne peut m’énerver, me blesser ou me déstabiliser.
– “Tu as bien compris”, dit le génie. “Ce ne sont pas les paroles ou les actes des autres qui te dérangent ou que tu n’aimes pas, mais les vieux démons qui se réveillent en toi à cette occasion : tes peurs, tes souffrances, tes failles, tes frustrations.
Si tu jettes une mèche allumée dans une jarre d’huile, celle-ci s’enflammera. Mais si la jarre est vide ou qu’elle contient de l’eau, la mèche s’éteindra d’elle-même.
Ton agacement face aux autres est comme un feu qui s’allume en toi et qui peut te brûler, te consumer, te détruire. Mais il peut aussi t’illuminer, te forger, te façonner et faire de l’autre un allié sur le chemin de ta transformation. Toute rencontre difficile devient alors une confrontation avec toi-même, une épreuve, une initiation.”- “J’ai besoin de savoir encore une chose”, dit le prince. “Qui es-tu ? – “Je suis, moi aussi, ton reflet dans le miroir.”


Source : Charles Brulhart – http://www.metafora.ch/

Remerciements à SoHam pour la première publication.

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