Petite histoire qui en dit long empruntée sur le site « Epanews.fr »

« Un jour, un fermier vint trouver le sage et dit d’un ton alarmé :

« Vieil homme, aide-moi. Une chose horrible vient d’arriver. Mon bœuf est mort et je n’ai plus d’animal pour m’aider à labourer mon champ ! N’est-ce pas la pire chose qui puisse arriver ? »

Le vieil homme sage répondit « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non ».

L’homme furieux retourna au village et rapporta à ses voisins que le sage était devenu fou. Bien sûr que c’était la pire chose qui puisse arriver ! Ne pouvait-il comprendre ça !

Le lendemain, cependant un cheval jeune et vigoureux fut aperçu près de la ferme de l’homme. Parce qu’il n’avait plus de bœuf sur lequel compter, il eut l’idée d’attraper le cheval pour remplacer son bœuf et c’est ce qu’il fit. Comme le fermier était heureux ! Labourer le champ n’avait jamais été aussi facile. Il retourna voir le sage pour s’excuser. « Vous aviez raison vieux sage. Perdre mon bœuf n’était pas la pire des choses qui pouvait arriver. C’était une bénédiction cachée ! Je n’aurai jamais capturé mon nouveau cheval si cela ne s’était pas produit. Vous devez admettre cette fois que c’est la meilleure chose qui puisse survenir ».

Le sage répondit une fois encore « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non ». Ah, non ! Pas encore se dit le fermier. C’est sûr, le vieux sage était à présent devenu complètement fou.

Mais, de nouveau, l’homme ne savait pas ce qui allait arriver. Quelques jours plus tard, le fis du fermier montait le cheval et fit une chute. Il se cassa la jambe et fut dans l’incapacité de faire la récolte. « Oh, non ! » pensa le fermier, « Maintenant nous allons mourir de faim ». Et de nouveau, le fermier se rendit chez le sage. Cette fois il lui dit « Comment saviez-vous que capturer mon cheval n’était pas la pire des choses qui puisse m’arriver ? Vous aviez encore raison. Mon fils est blessé et se trouve dans l’incapacité de m’aider pour la récolte. Cette fois je suis sûr que c’est la pire des choses qui puisse m’arriver. Et vous devez en convenir cette fois. » Mais tout comme il l’avait fait auparavant, le sage regarda le fermier et, avec compassion, lui répondit : « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non ». Enragé que le vieil homme soit si ignorant, le fermier hors de lui retourna au village.

Le jour suivant, des soldats arrivèrent pour enrôler tous les hommes valides pour la guerre qui venait juste d’éclater. Le fils du fermier fut le seul jeune homme dans le village à ne pas partir. Il vivrait alors que les autres mourraient sûrement.

La morale de cette histoire nous fournit une leçon puissante. La vérité est que nous ne savons jamais ce qui va se passer – nous pensons seulement le savoir, nous portons des jugements, nous pensons analyser et nous comparons avec d’autres situations passées qui ne sont probablement pas le reflet du futur. Nous créons nous-mêmes des scénarios dans notre imagination sur les choses terribles qui pourraient arriver et ceux-ci nous mettent dans un état interne qui correspond à ces scénarios. S’ils sont négatifs, nous le deviendrons, s’ils sont positifs et optimistes, nous le serons aussi. La plupart du temps, après coup, nous nous rendons comptes que nous nous sommes fait du souci pour rien et que nous avions tort. Si nous restons calmes, sereins et ouverts à toutes les possibilités, nous pourrons raisonnablement être certains que, éventuellement, tout ira bien. Ne vous créez pas de soucis qui n’existent pas : ils n’existent pas puisque c’est dans l’avenir.

Souvenez-vous : « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non ».

Un optimiste voit des opportunités dans les difficultés.

Votre serviteur dans l’optimisme et motivateur,

Michel POULAERT.

http://www.sourcedoptimisme.com/

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Ce dessin pour vous expliquer comment vous vous racontez des histoires!

Au départ, il y a une personne (petit bonhomme au trait noir), le trait rouge qui l’entoure représente l’énergie de vie, celle qui fait que ce petit bonhomme est ici et maintenant ‘je » et qu’il peut agir, décider, choisir: il est au présent, à l’instant « T ».

Mais ce petit bonhomme est constitué de différentes facettes représentées sur le dessin par le nuage qui traverse sa tête: ce nuage représente les différents « moi » du passé (l’histoire de la famille, les évènements du passé, etc…); les « moi » du futur (ce que l’on projette) et l’imaginatif( tout ce qu’on imagine). Ces « moi » ont donc différents visages et une raison d’être qui appartient à chacun des évènements qui les constituent. Ce nuage , ces différents « moi » ont pris forme suite à des croyances qui ont entrainé des pensées, puis des émotions, puis des prises de décision et enfin un comportement (c’est ce qu’on appelle une boucle de programmation). c’est aussi ce qu’on appelle l’instinct de survie et qui fait qu’on est ici et maintenant grâce à toute cette histoire.

Lorsque vous faites une thérapie en sophro-analyse, le but va être de brancher l’observateur conscient (le soleil, sur le dessin), afin de mettre en conscience toutes ces facettes et de prendre conscience que ces différents « moi » sont différents du »Je », ici et maintenant. C’est comme si il y avait un autre petit bonhomme qui nous racontait une histoire et nous faisait croire que nous sommes « lui »!

Vous me suivez?

Vous voyez donc que la flêche qui part du nuage vers le bas du bonhomme, le « je » d’ici et maintenant, vous indique que ce petit « moi » , si vous continuez à vous y identifier, vous vous faites croire que vous êtes « lui »! Or, il est différent de vous, il n’a rien à voir avec vous à l’instant présent puisqu’il appartient à un autre moment du temps.

Et le seul personnage qui peut agir… c’est vous! ce » moi », n’est qu’une pensée

et qui pense?… « je ».

Bon, j’espère que ce petit dessin et ces quelques explications en image vous permettront de mieux comprendre la vidéo de l’article précédent.

D’abord, je vous invite à aller voir cette vidéo:

http://epanews.fr/video/quest-que-le-reel

( vous y reconnaîtrez plusieurs extraits de films bien connus qui ont certainement marqué votre attention.

Regardez la en observateur et notez vos impressions, ce que vous vous dites en la regardant.

j’ai d’abord hésité à vous la proposer car une petite voix me disait attention, tu te fais manipuler; j’ai même failli ne pas la regarder jusqu’au bout, et puis une autre me disait: « que risques-tu réellement? que choisis-tu?

Finalement, je fais le choix de vous la proposer, car je trouve que c’est une excellente démonstration pour comprendre ce qu’est « la pensée », « l’égo », et Qui est aux commandes.

J’ai, depuis que je travaille en sophro-analyse, le rêve de mettre en image ou en BD, le fonctionnement du moi,et du surmoi! vaste opération , me direz-vous? eh bien, d’une certaine façon, cette vidéo permet de comprendre, de prendre conscience de la mécanicité qui se met en place, de tous ces tours que nous nous jouons et de tout ce que nous nous faisons croire. Ce à quoi nous nous identifions et qui n’est pas « nous » ( « je »)!

Donc, j’espère que vous aurez la patience de regarder cette vidéo jusqu’au bout, et qu’elle pourra peut-être vous aider.

Voilà deux fois ce matin que j’entends parler de « loup ».

D’une part dans un article écrit par mon amie Dominique sur « la femme et le loup », et la vidéo qui l’accompagne et que je partage à nouveau avec vous ici, tant elle est d’actualité en ce moment dans ma vie! (Vous l’avez déjà visionnée sur mon blog, mais une petite piqûre de rappel peut faire du bien!!). D’autre part, en lisant un article sur le blog de Béné-dit, où mon amie parle d’un livre qui l’a accompagnée durant un épisode de sa vie:

« Femmes qui courent avec les loups » , de Clarisa Pinkola .

Au moment où, je réalise cela, un énorme rayon de soleil(!) traverse la fenêtre près de laquelle je suis assise pour écrire ce texte et m’éblouit…

Hier encore, en attendant l’heure de la séance de cinéma, avec mon Cher et Tendre, nous sommes allés faire un tour chez Virgin’s au rayon livres, et cela fait plusieurs mois que je cherchais le titre d’un livre, qu’une autre de mes amies m’avait conseillé de lire, mais à chaque fois que je lui demandais quel était ce livre ,elle ne voyait(!) pas de quel livre je lui parlais.

Eh bien, hier imaginez vous que je ne cherchais rien de particulier, j’arrive au rayon « développement personnel et spirituel » et un livre est posé sur une étagère, sur une pile en travers:je ne sais pas pourquoi(!), j’ai eu envie de regarder ce livre, un tout petit livre fin qui n’avait rien de particulier ,comme ça…

Devinez? OUIIIIIIIII, c’était le livre que je cherchais depuis des mois!!!!

et son titre (vous comprendrez mieux pourquoi j’ai mis un point d’exclamation après le mot « voyait »:

« Le troisième oeil de T. LObsang Rampa, c’est l’initiation secrète d’un enfant-moine au Tibet.

… No comment!