Archives de catégorie : Sophrologie

Réflexion…

 

 

En ce moment, il se passe une véritable « révolution » en moi: une sorte de grand « nettoyage » interne.

Cela n’est pas un long fleuve tranquille et me boulverse totalement!

Mon corps se manifeste et exprime tout ce qui ne se dit pas ou ne s’est pas dit.

J’ai un choix à faire, et je suis tiraillée par la fidélité « familiale » les : »Tudois, Y’aqu’à, Fautqu’on », comme j’aime les appeler (eh oui, moi aussi!!) et l’être que je suis profondément qui désire se respecter et se faire respecter.

Pour cela, j’ai bien compris qu’il ne fallait pas que je le veuille seulement, mais que je le ressente vraiment et que je pose des actes.

Que j’abandonne toutes les peurs qui répondent au chantage affectif (quelque soit sa forme), et les culpabilités qui en découlent…

J’y travaille sérieusement, croyez moi.

 

Comment pourrais-je être responsable des choix et des décisions de certaines personnes? Ce serait me donner beaucoup de pouvoir! Chacun est responsable à 100% de sa vie, de ses choix, de ses décisions.

 

Oui, tout ça j’en suis convaincue!

Ma tête en est convaincue, mais je vois bien qu’il y a des mémoires dans mon corps qui font que ce n’est pas encore la totale harmonie!

 

Quels sont donc les avantages qui découlent de tout ça :nourrir le « MOI » qui croit devoir faire le lien et qui me permet de me dire que je suis une personne parfaite, gentille, qui est incapable d’abandonner les autres et surtout qui a un certain « pouvoir » (si, si , allez j’ose affronter et dire cela même si ça me coûte!!!!) CROYANCE,CROYANCE quand tu nous tiens( heu , quand je te tiens!)

Une façon de plus de repporter sur l’autre la responsabilité: ‘si c’est ça, c’est pas de ma faute, regardez ce qu’il ou elle me fait »!!!! Whouuuuuuuu, joli!!!!!

Bon , ben j’ai encore du boulot sur la planche!!!

 

Cependant, je sens bien que ça commence à se détacher de moi ,  je suis sur la bonne voie!… Je vous passe tous les détails, ce serait trop long et trop personnel.

 

Juste vous dire qu’une de mes « amies huiles essentielles » s’est présentée à moi, suite à un travail de restructuration, et c’est la Lavande, celle qui lave tout (lavare), qui prend soin, qui accompagne, la maman protectrice…

J’ai été un peu surprise d’abbord, car depuis quelques épisodes de ma vie, j’avais un peu de mal avec elle (et pour cause!), j’ai donc fait quelques approches olfactives et je me suis rendue compte, qu’effectivement, j’en avais besoin et qu’elle pouvait m’aider à traverser ces évènements dans ma vie en ce moment.

 

Et puis ce matin, je suis « tombée » sur cette phrase sur un autre blog:

 

Notre ami le Soleil ne craint pas d’être au centre de sa vie, ni de faire de l’ombre… Il sait que c’est le prix à payer pour rayonner!

 

 

C’est pas beau ça?

 

Je peux vous dire que cette petite phrase r(ai)ésonne* terriblement en moi…

 

Je n’ai plus de mot, je laisse agir…

 

 P.S. Mon cher et tendre qui vient de lire ce billet et qui lui aussi est un peu Lacanien sur les bords a fait cette réflexion:

Amusante:  tu as écrit : « cette petite phrase raisonne » « RAI » au lieu de Ré pour résonne… Intéressant J’ai donc fait la correction ci-dessus….

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Persévérance

Voici de quoi méditer… (merci à Dominique de me l’avoir envoyé)

 La fourmi

Une fourmi n’abandonne jamais la partie.

Lorsqu’une fourmi est en route vers une destination,

si vous mettez un obstacle en travers de son chemin,

elle essaiera de passer par dessus ou de le contourner.
Si vous enlevez l’obstacle, elle continuera son chemin.

Et si vous mettez un autre obstacle en travers de sa route,

la fourmi essaiera de trouver un autre moyen,

par-dessus, par en-dessous ou autour.
Combien de temps une fourmi continuera-t-elle à essayer ?

Jusqu’à ce qu’elle meure.

Une fourmi n’abandonne jamais.
Quelle leçon !

 Jim Rohn

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Affirmation positive

La vie est vraiment bien faite, et l’univers prend soin de moi!

Voilà ce que je me suis dit ce matin en ouvrant ma boite mails: je venais de recevoir deux messages téléphoniques d’une personne avec qui j’ai quelques soucis en ce moment, et je dois avouer humblement, que ces messages, même si je m’en défends me touchent encore.

je ne développerai pas ici l’analyse de ce qu’ils me font toucher, mais j’y travaille (croyez moi!).

Lorsque j’ai trouvé cette vidéo qui m’a été envoyée par mon amie Dominique de son site « Réussir sa vie », j’ai pris le temps de lire et de ressentir les différentes affirmations positives.

Vous vous doutez bien, qu’il y en a qui ont particulièrement vibré…

Je décide donc, de me refaire une « piqûre » de rappel!, et de reprendre mes affirmations positives…

Je partage ici la vidéo avec vous si le coeur vous en dit…

Très belle journée à vous!

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Cette vidéo pour vous souhaiter une très belle année et vous montrer que tout est possible!

Je viens de visionner cette vidéo, et j’ai eu envie de la partager avec vous en guise de voeux pour cette nouvelle année qui va bientôt pointer le bout de son nez.
A tous ceux qui croient ne pas être capables de ceci ou de cela, qui n’ont pas confiance en eux, qui baissent les bras rapidement , à ceux qui ont reçu cette injonction: « tu ne peux pas »: sortez de cette illusion, si vous apprenez, si vous expérimentez, vous y arriverez!
Je vous souhaite donc pour 2011 : de l’audace, de la persévérance, et une tres belle année à l’image de ce que vous souhaitez et que vous serez capable d’en faire!

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La Bioanalogie

Je vous ai déjà parlé de Jean-Philippe Brébion et de l’empreinte de naissance.

Il m’arrive dans mon travail en sophro-analyse d’utiliser cet outil pour aider certaines personnes à mieux se connaître et comprendre comment elles fonctionnent.

Voici cinq vidéo où il présente et explique en quoi cela consiste.

 

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Le parapluie

Bonjour à vous,

Ce matin, j’ai reçu ce billet de Dominique Allaire » que je vous propose ci-après:

 

« Quand il pleut à pleins cieux. Quand le temps gris s’abat sur ma vie. Quand la grisaille me serre les entrailles. Je me recroqueville et trouve abri dans le seul endroit où je sais que la lumière luit et toujours luira. Là où crépite mon feu de joie à moi. Tout chaud, tout petit, sous mon parapluie. Au centre de mon âme brille une flamme.

Quelle séduisante tentation pour orages en quête d’extinction! Je connais ces nuages. Certains s’élèvent de proches angoisses. D’autres viennent de lointaines paroisses. Et déchargent leurs gouttes d’amertume sur mes peines posthumes.

Leur froideur solitaire recherche désespérément une chaleureuse partenaire. Désolée, seuls pleureurs! Sous mon parapluie, il fait soleil à toute heure.

Eh oui! Le jour et la nuit y sont amis. Le temps s’y conjugue au présent. La fantaisie est ma monnaie d’échange. Je m’y sens libre de parler aux anges. D’échafauder des rêves fabuleux. De rédiger des scénarios merveilleux.

Sous mon parapluie, tous les possibles sont permis. Je me permets de croire qu’il n’y a plus de limites. Je me donne la permission d’envoyer le moindre tracas en orbite. Que de moments délicieux dans ce havre béni des dieux!

Je m’y amuse à remasteriser mon existence. À mettre à jour mes dernières prises de conscience. Et à savourer le luxe grandiose de cette langoureuse pause. Ailleurs, le tourbillon des obligations chambarde le quotidien de mon prochain.

Sous mon parapluie, plus rien ne tient.

Ni même les défis que je m’impose. Ni même les attentes que je nourris. Ni même les résultats que je souhaite. Plus rien que le constat de n’être là que pour moi.

Mes peurs s’évaporent comme flocons joyeux au soleil radieux. Mes regrets perdent la mémoire. Mes angoisses changent de vocation. Mes idées noires vivent une mutation. Mon univers tout entier ressemble à une île enchantée.

Sous mon parapluie, la lumière inonde de chaleur chaque contour de mon cœur.

N’est-ce pas privilège unique de pouvoir ouvrir tout grand cet outil magique? Vous en avez un, vous aussi. C’est votre meilleur ami. Celui qui reconnaît votre beauté. Celui qui vous apprécie dans votre totalité. Il est à votre portée. »

  

Ce texte, m’a rappelé un petit poème que je me plaisais à dire quand j’étais triste, j’avais 3 ou 4 ans à l’époque; je vous le dis avec l’intonation , car à l’époque, les « R » et les « L », étaient difficiles à dire pour moi!!:

« … Le ciel est noi(r), il va p(l)euvoir, mais moi, je n’ai pas peu(r) de la p(l)uie, puisque j’ai mon pat(r)ap(l)uie! »

 

 Moi aussi, j’avais accès à cet espace intérieur, protégée par ce parapluie et complètement sécurisée.

Ce petit poème, qui faisait rire à l’époque prend tout son sens aujourd’hui!

Vous pouvez retrouver ses billets à cette adresse:

www.DominiqueAllaire.com

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Ah! les interdits!…

 

Ce matin j’ai reçu l’article suivant de Marie Pier Charron de « Matins Magiques », et je l’ai trouvé très bien écrit, aussi je me propose de le partager avec vous ici: mais: ATTENTION NE LISEZ PAS CECI!

  

  Ne lisez pas ceci

 Si j’avais choisi d’intituler cet article «Lisez un autre courriel» – ce qui reviendrait exactement au même – »Difficile d’ignorer mon message lorsque je vous demande expressément de ne pas le lire, n’est-ce pas? Rien ne nous donne plus envie de faire une chose qu’une interdiction…
 peut-être aurais-je suscité votre intérêt… mais jamais autant que je l’ai fait avec «Ne lisez pas ceci». Car en vous demandant de ne pas me lire – oui, en vous donnant l’instruction de ne pas faire une chose précise –, j’ai touché une corde sensible. Vous saviez certainement qu’il s’agissait d’une tactique pour attirer votre attention, mais elle était néanmoins irrésistible. Je tentais de limiter vos options en vous disant quoi ne pas faire, donc vous avez naturellement commencé à faire le contraire.

Se coincer pour avancer?
Créer une pléthore d’interdits est une stratégie que nous sommes nombreux à utiliser pour tenter de rester aligné avec nos buts. La logique sous-jacente est la suivante: «Si je me refuse toutes les actions et options inadéquates, je n’aurai pas le choix d’aller dans la bonne direction.» Donc si on souhaite perdre du poids, par exemple, on s’interdira peut-être de manger du dessert, de grignoter des chips, et une foule d’autres choses, en croyant que ces règles nous forceront à rester sur le droit chemin. On pense que si on se refuse tout sauf ce qui nous fera avancer, on obtiendra nécessairement les résultats désirés. On n’aura pas le choix, on sera coincé.

Si cette approche est tout à fait brillante d’un point de vue «mathématique», elle est complètement démente d’un point de vue psychologique. Elle est à la motivation ce que les pétards sont aux feux d’artifice… Car si on se confine dans une prison d’interdits, la première chose que l’on voudra faire est de s’évader – même si les interdictions sont infiniment nobles et justifiées. Ériger de grands murs chaque côté du «droit chemin» n’est pas une stratégie efficace pour y rester… Les grands murs empêchent la lumière d’entrer, et il s’avère que l’on a besoin de lumière encore davantage que de la jolie destination vers laquelle on est en train de marcher.

On souhaite tous concrétiser nos belles visions, bien sûr. Or, il y a une chose que l’on désire et désirera toujours encore plus viscéralement: notre liberté. La liberté est l’essence de ce qu’on est… Instinctivement, jamais on n’acceptera de la sacrifier. On adoptera tous les comportements interdits pour la retrouver, souvent contre notre propre volonté. Si on suit un régime strict, on mangera des desserts qui ne nous font même pas saliver simplement pour déclarer qu’on a le droit de les manger. Si on ne se permet pas de prendre du temps pour nous (ou si on ne se permet pas vraiment de le savourer), on rêvera de passer des journées entières devant la télé. En fin de compte, on fera en sorte de vouloir le contraire de ce que l’on veut pour briser le cadre rigide que l’on s’est imposé. On aime nos o bjectifs, bien sûr, mais on refuse viscéralement de sacrifier notre fraîcheur et notre paix intérieure pour y arriver.

Se faire confiance…
Que reste-il donc, lorsqu’on se libère de notre prison de «non»? Nous sommes nombreux à craindre de nous transformer en mollusque si on cesse de s’auto-commander comme des généraux d’armée. Or, personnellement, je dois dire que je n’ai rien contre l’idée… Les mollusques vivent parfaitement leur vie de mollusque, après tout; ils adoptent sans hésitation tous les comportements appropriés. Pourquoi en serait-il différent pour nous? Tout comme le tournesol se tourne vers le soleil, tout comme la graine se met à germer, on a naturellement tendance à aller vers ce qui est bon pour nous et à nous développer. Notre corps nous fait signe lorsqu’il est rassasié… On a tout plein d’idées et d’élans d’inspiration après s’être bien reposé… On a spontanément envie de risquer;aller vers ce qui nous fait vibrer. Nos pulsions autodestructrices (qui sont en fait des tentatives de libération déguisées) ne se manifestent que lorsqu’on essaie de se coincer.

Il est difficile d’y croire, à l’ombre des grands murs que l’on a érigés, mais on adopte naturellement des comportements sains et constructifs lorsqu’on commence simplement à aller vers la lumière et à se respecter. Oui, on n’a pas besoin de se coincer lorsqu’on apprend à se faire confiance et à s’écouter. Non seulement on peut avancer dans l’allégresse et la joie de vivre, mais c’est primordial d’en faire notre priorité. Car au bout du compte, on ne restera jamais sur le «droit chemin» parce qu’on est obligé de continuer… On y restera parce qu’on est trop bien pour s’arrêter.

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Osez suivtre votre chemin

Je partage avec vous cette vidéo que j’ai reçue ce matin.

je pense que chacun d’entre nous peut se retrouver à travers ces images.

Alors croyez en vous, devenez ce magnifique papillon qui sort de sa chrysalide et suivez votre route, osez être qui vous êtes, ne vous arrêtez pas à ce que disent ou pensent les gens de vous…

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