Cette vidéo , joli sujet de réflexion…


J’aurais pu l’écrire, mais Isabelle Padovani l’a si bien exprimé que je partage avec vous l’intégralité de son texte. La photo vient aussi de son site.
ÊTRE AVEC CE QUI EST
Être avec ce qui est n’a rien à voir avec essayer d’accueillir ce que nous n’arrivons pas à accueillir, pas plus que tenter d’accepter ce que nous n’avons pas envie d’accepter. Être avec ce qui est consiste à s’asseoir gentiment avec ce que nous ressentons, comme on s’assiérait aux côtés d’un ami, tranquillement, en silence, sans lui demander d’explication sur sa présence, ni justifier la nôtre : juste être là, avec, se respirer mutuellement, percevoir le goût de soi qui se transforme imperceptiblement au contact du goût de l’autre. Être avec ce qui est, n’est pas un « faire », mais un expire de l’être au cœur de l’instant, une perception intime de tout ce qui nous anime et qui a du mal à rester gentiment avec « ce qui est ». Ainsi, être avec ce qui est consiste précisément à rester avec ce qui, en nous, ne veut pas ou ne sait pas comment être avec ce qui est… Ayant compris cela, être avec ce qui est consiste alors à accueillir avec tendresse la part de nous qui n’arrive pas à accueillir ce qui est, à lui offrir un lieu bienveillant où elle puisse y déposer sa détresse du moment. Ce faisant, nous disons alors « oui » à l’existence de son « non » à la réalité, nous lui offrons un espace en lequel, se sentant rejointe, quelque chose peut commencer à se détendre, tout doucement, tout doucement, tout doucement… Là et là seulement, se goûte « Être avec ce qui est »… (Isabelle Padovani – www.communification.eu)
De cette vidéo, quelques phrases ont retenues mon attention?
» Qu’est-ce qui est? »
« Qu’est-ce que tu veux? »
« Qu’est-ce que tu fais? »
Isabelle explique très bien ce qui se passe en soi à certains moments de la vie par rapport au sens que l’on veut donner aux évènements qui surgissent…
Savoir prendre soin de l’enfant Moi, être le père, ne faire qu’un… et parfois aussi qd l’enfant Moi prend toute la place, reconnaître que le Père puisse être dépassé et qu’alors il est temps de demander de l’aide à l’extérieur….
«Les seules pensées zen que vous puissiez trouver en haut d’une montagne sont celles que vous avez apportées avec vous.»
– Robert Pirsig |
Peut être connaissez-vous déjà Mary Pier Charron, peut-être pas!
Elle a créé Matin Magique et poste régulièrement des billets, des réflexions très intéressantes.
J’apprécie sa façon d’expliquer, et de parler de certains sujets.
En voici un, qui m’interpelle, et comme je m’en faisais la réflexion déjà depuis quelques jours, il est tombé à point! Je ne saurais mieux en parler.
Alors, lisez, méditez et faites moi part de vos réflexions.
Et puis si ça vous chante, voici le lien de son site pour que vous puissiez vous y inscrire:
Très belle réflexion…
Mais pour vous, la «Californie» est peut-être une relation amoureuse. Ou de l’argent. Ou un pèlerinage. Ou un enfant. Ou un peu de tout cela.
Ce type de pensée se présente souvent à nous lorsqu’on est décentré, toujours avec la promesse de nous sauver. C’est un peu comme le syndrome du prince charmant, si on veut… On s’attend à ce que quelque chose, quelque part, vienne rétablir l’harmonie comme par magie. On est convaincu que cet «ailleurs» a des propriétés que le présent n’a pas, tellement l’image est belle dans notre esprit.
Or, avez-vous remarqué que dans les faits, on se sent toujours à peu près de la même façon? Oui, le paysage peut changer, mais notre état reste plus ou moins le même. Car quoi que l’on vive, on apporte toujours notre façon de penser avec nous. Une fois l’exaltation de la nouveauté estompée, on revient à peu près au même point où on était avant. Si on avait tendance à cultiver des pensées culpabilisantes, par exemple, on continuera. Ou si on avait tendance à être en paix avec la réalité, ça se poursuivra tout autant.
Évidemment, certains environnements nous conviennent plus que d’autres… Tout comme les fleurs, on s’épanouit davantage dans certains «climats». Cela dit, si notre état de lourdeur vient de notre dialogue intérieur – et pour les Occidentaux privilégiés que nous sommes, c’est presque toujours le cas – elle nous rattrapera où que l’on soit. D’ailleurs, je me souviens très bien de moments où j’étais fatiguée ou stressée en Californie, même si je vibrais d’être là. En réalité, cette Californie toute puissante que mon mental me tend comme un hameçon n’existe pas.
Apprendre à cultiver la paix en nous et à se détacher de nos vieux courants de pensée plus ou moins constructifs n’est certainement pas facile. En fait, c’est une des choses les plus courageuses qui soient. Sinon, on ne serait justement pas aussi déterminé à s’en sauver! Mais c’est le chemin le plus direct vers tout ce que l’on peut désirer. En fait, c’est le seul vrai chemin vers ce que l’on veut vraiment, à bien y penser. Donc finalement, la seule chose à décider est quand nous choisirons de l’emprunter. 🙂
Passez une belle journée!
Aujourd’hui, j’ai envie de vous faire découvrir, si vous ne le connaissez pas, Serge FITZ:
SERGE FITZ , « Chercheur dans l’âme » | |||||
Auteur de nombreux ouvrages sur la géobiothérapie et la santé, Serge Fitz prône l’épanouissement de l’Etre par la conscientisation des entraves à la réalisation de soi-même (et non par l’acquisition de nouveaux savoirs ou de nouvelles techniques). Créant le concept de l’éco-médecine, il se livre à une véritable écologie de la santé. La particularité de sa démarche réside dans l’utilisation de la radiesthésie appliquée. Cet outil permet en quelques minutes de dresser un check up complet mettant en évidence les freins à la libre circulation des énergies. Cette approche rend perceptible à tout moment le filigrane « fractal » des obstacles en cause : biologiques, psychologiques, géobiologiques, karmiques, spirituelles et environnementales, au niveau des corps subtils et physique. Elle place à tout moment l’individu au centre d’un enjeu : s’épanouir et se réaliser par la levée des obstacles et non par l’apport de forces extérieures, ce qui équivaudrait à accélérer, alors que le frein (inconscient) est toujours serré ! Mis en pratique dans les ateliers de Terre et Ciel, ce concept donne à tout un chacun, la possibilité de découvrir son propre potentiel
Je viens de lire un article qu’il a écrit et qui me parle beaucoup. je vous le donne ici à lire, car peut-être, comme moi, il vous fera réfléchir. Je suis convaincue, que la maladie a quelque chose à exprimer. A nous faire exprimer. Je l’ai trop longtemps vu et ressenti avec ma mère, il était indéniable qu’en étant malade elle recherchait quelque chose qu’elle ne savait obtenir autrement. Aujourd’hui, moi-même à travers l’épreuve que je vis, je prends le temps d’aller rencontrer ce que ce « cancer du sein » à gauche, me fait vivre. Je touche du doigt, de la pensée aussi ce qui n’ose s’exprimer clairement. Ce n’est pas un chemin facile, mais il me montre ce que j’ai encore à nettoyer au niveau de mes croyances. Ce n’est pas parce que j’ai une casquette de « Sophro-analyste » que je suis à l’abri de tout! (J’aimerais!), NON, je suis juste un être humain doté d’une éducation, de croyances, de peurs, de questionnement comme tout à chacun. Moi aussi, j’ai parfois la trouille d’aller regarder tout au fond de moi, et pourtant, pour me donner du courage, je me dis cette citation de Victor Hugo: « Soyez comme l’oiseau posé pour un instant sur des rameaux trop frêles, qui sent plier la branche et qui chante pourtant, sachant qu’il a des ailes. » Alors, je me sens comme l’aigle*, celui de mes méditations qui m’a donné tant de courage, et je me met au contact de ma puissance intérieure de guérison. * Voir dans mes anciens post la méditation sur l’aigle. Si vous ne la trouvez pas, n’hésitez pas à me le faire savoir et je vous la redonnerai.
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Cette vidéo de dialogue en présence avec Isabelle Padovani, est une excellente manière de vous montrer, en quoi consiste une séance de Sophro-analyse.
Ici, isabelle nous montre comment accueillir en présence, ces « petites voix qui nous parlent et nous limitent », avec beaucoup d’attention, de respect.
Aujourd’hui, j’ai envie de vous parler de ce qui m’arrive depuis quelques jours.
Il y a quelques mois en me rendant à un rendez-vous qui me paniquait par certains côtés,je me suis blessée sur une barre de fer qui se trouvait au sortir de ma voiture….
J’ai bien vu que je m’étais « égratignée » et n’ai pas fait plus attention à ça; Sauf que, l’égratignure en question était plus profonde que je n’avais bien voulu voir et qu’aujourd’hui, j’en ai encore une jolie cicatrice sur le….genou…
quelques temps après j’ai ressenti une gène en marchant, cet été, mon genou s’est mis à gonfler, je ne pouvais presque plus me mettre à genoux.
Et puis, la rentrée se passe, fort bien à mon goût, avec pleins de beaux projets, et un planning qui s’affiche et se remplit effectivement mais aussi potentiellement.
Des choix à faire, des engagements, une « obéissance » à ceux-ci, parce que je suis une fille de parole.
J’ai envie de faire plaisir à tout le monde, je suis conciliante, je « m’arrange » souvent pour dépanner, parfois aux dépends de mes vraies besoins (prière de ne pas sourire, à moi aussi , ça m’arrive encore, eh oui!!!), je ne suis qu’un être humain après tout!
Tout ça bien sûr parce que au fond de moi subsiste encore un noyau, une croyance, qui, quand je me laisse rattraper par mes « élastiques », me fait perdre tout raisonnement. J’ai peur de manquer, peur de décevoir etc…. j’en passe et de meilleurs!)
Donc, en ayant voulu danser à une fête, je me suis « fait mal à mon genou »: résultat des courses: épanchement de synovie, et incapacité d’avancer!!!
Merci ,mon genou, de me donne ce message car je commençais sérieusement à avoir besoin de consulter un othorino!!!
je n’ai pu que me poser, et ralentir ma course. Et c’est exactement ce dont j’avais besoin, pour me permettre d’écouter ce dont j’avais le plus besoin et surtout voir et comprendre et ressentir, que je n’avais pas à me « plier » aux désidératas des autres et que j’avais aussi besoin de mettre mes limites.
je respire bien mieux, et mon genou dégonfle, je l’aide bien sûr avec de l’argile, des huiles essentielles. Il est encore un peu douloureux, mais sur la bonne voie.
J’espère que cet exemple vous « parlera », fera écho, et que vous apprendrez à « écouter »ces messages que le corps vous donne, afin, si vous n’avez pu le faire autrement de vous remettre en harmonie avec qui vous êtes.